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LES PLUS GROS MENSONGES SUR L'ALIMENTATION

C’est malheureux, mais les recommandations des nutritionnistes « officiels » sont souvent à mille lieues des enseignements de la science et du bon sens. 
Pourquoi ? Parce que l’alimentation est au cœur d’intérêts politiques, industriels et financiers puissants 
Voyez plutôt les 8 énormes mensonges qu’on entend quotidiennement dans les grands médias… et qui nuisent gravement à votre santé. 

Mensonge n°1 : Buvez un bon jus d’orange le matin !
La plupart des gens s’imaginent que les jus de fruit sont bons pour la santé. 
Et le très officiel Programme National Nutrition Santé (PNNS) les conforte dans cette erreur. Pour ces « experts », un verre de jus « compte » comme une portion de fruit. 
Ce n’est pas seulement faux: c’est dangereux. 
Car un verre de jus d’orange contient autant de sucre qu’un Coca Cola, avec les mêmes effets désastreux sur votre santé
Pour les chercheurs de l’Université de Harvard, les boissons sucrées (sodas ET jus de fruits) sont responsables de 133 000 décès par diabète, 44 000 décès par maladie cardio-vasculaire et 6 000 décès par cancer [1]. 
Car le sucre est l’ennemi numéro 1 de votre santé. 
Les Français consomment 17 fois plus de sucre aujourd’hui qu’au 19ème siècle. Et comme par hasard, cette nouveauté a coïncidé un peu partout avec une augmentation vertigineuse de l’obésité, du diabète et de la quasi-totalité des maladies modernes. 
Le pire est le fructose ajouté, que l’on trouve dans les pâtisseries mais aussi la plupart des produits industriels, sous forme de « sirop de maïs » ou « sirop de fructose-glucose ». 
Quant au sucre de table, composé à 50 % de fructose et à 50 % de glucose, il faut savoir qu’il est la nourriture privilégiée des… cellules cancéreuses ! Plus vous consommez de sucre, plus vous risquez de déclencher un cancer… et de l’alimenter. 
Voilà pourquoi il est si important de réduire au maximum sa consommation de sucre, y compris celui des jus de fruit, même s’ils ont été soigneusement pressés par vos soins. 
Et ne croyez surtout pas que manger un fruit entier équivaut à boire du jus de fruit. 
D’abord parce que le jus empêche de vous rendre compte de la quantité de sucre que vous avalez. Saviez-vous qu’un seul verre de jus contenait le sucre de deux oranges ? Et que pour produire 1 seul litre de jus, il faut 2 à 3 kilos d’orange ? 
Et surtout, les fibres du fruit ont l’avantage de « ralentir » le passage du sucre dans le sang. Lorsque le fruit est réduit en jus, sans les fibres, il augmente brutalement votre taux de sucre sanguin et force votre pancréas à injecter une dose massive d’insuline pour rétablir la situation. 
Résultat : au bout de deux heures, c’est l’hypoglycémie. C’est la fameuse fringale de 10-11h, après un petit-déjeuner sucré. Au bout de quelques mois, c’est la prise de poids… Et au bout de quelques années, c’est l’ensemble de vos cellules que vous endommagez. 
Voilà l’effet que les sucres « rapides » produisent sur votre organisme… Et le pain n’y fait pas exception : 

Mensonge n°2 : Le pain complet est la base d’une alimentation santé
Ah, le pain complet, les céréales complètes, voilà qui sonne « sain », n’est-ce pas ? 
Malheureusement, les choses ne sont pas si simples. 
Les nutritionnistes recommandent le pain complet car il contient une dose correcte de fibres et des vitamines (contrairement au pain blanc, très pauvre nutritionnellement). 
Mais c’est loin d’être un aliment irreprochable. 
Le pain complet contient beaucoup de gluten, de sel et de pesticides (lorsqu’il n’est pas bio). 
Et contrairement à ce qu’on croit trop souvent, c’est un « sucre rapide ». 
On le sait grâce à la mesure de son « index glycémique », qui reflète la rapidité avec laquelle les aliments augmentent votre taux de sucre sanguin. 
Eh bien l’indice glycémique du pain (blanc ou complet) est très élevé (71), et même légèrement supérieur à celui du sucre de table (67) [2] ! 
Lorsque vous mangez du pain, votre taux de sucre dans votre sang augmente brutalement, et comme on l’a vu avec le jus d’orange, cela finit par dérégler votre appétit, favoriser le surpoids et accélérer le vieillissement de vos cellules.
Choisir des aliments à indice glycémique bas est donc un des gestes les plus importants que vous pouvez faire pour votre santé… et votre tour de taille. 
Si vous tenez à votre pain quotidien, préférez le pain complet au levain (bio), qui a l’avantage d’avoir un indice glycémique un peu plus bas. 
Mais ne croyez surtout pas que le pain complet, ou les céréales complètes en général, sont des aliments indispensables à une alimentation « santé ». Vous trouverez davantage de bonnes fibres et de vitamines dans les légumes  

Mensonge n°3 : Il faut manger « un peu de tout »
Combien de fois ai-je dû supporter cette vieille rengaine ? « Manger équilibré » ce serait tout simplement « manger un peu de tout ». 
Si l’on suit cette logique, cela voudrait dire qu’il faudrait manger « un peu de frites », « un peu de charcuterie », « un peu de viennoiseries industrielles », « un peu de pain blanc », « un peu d’huile de tournesol », « un peu de glace », boire « un peu de coca-cola ». 
Vous voyez le problème… 
Manger « de tout » était un bon conseil quand toutes ces cochonneries n’existaient pas. Il était alors utile de varier les plaisirs au sein du cercle des aliments bons pour la santé (fruits, légumes, viandes, poissons, œufs, noix). 
Mais dans la jungle alimentaire que nous connaissons aujourd’hui, s’il y a une règle à suivre, c'est de manger le plus possible de bonnes choses, et le moins possible de mauvaises. 
Manger « de tout » est d’autant plus inadapté qu’il existe des catégories d’aliments qui ne conviennent absolument pas à certaines personnes. 
Par exemple, les féculents sont bons pour les sportifs… mais désastreux pour les diabétiques. Le lait et le blé peuvent être consommés avec modération par ceux qui les tolèrent, mais doivent être évités à tout prix par ceux qui les digèrent mal. 
Ces derniers ne mangeront donc pas de « tout »… mais cela n’a aucune importance ! 
Car le lait ou les céréales ne contiennent aucun nutriment qu’on ne peut retrouver dans d’autres aliments (le brocoli contient plus de calcium que le lait)
Même les fruits peuvent être évités sans dommage pour la santé – du moment que vous consommez un maximum de légumes variés. 
Quant au régime végétarien, sans viande ni poisson, il est plus compliqué à équilibrer, mais pas impossible si vous avez une excellente connaissance de la nutrition ! 

Mensonge n° 4 : Surtout pas plus de trois œufs par semaine !
« Les œufs sont pleins de cholestérol ! Limitez-les au maximum, pour le bien de votre cœur et de vos artères ! » 
Et voilà comment un slogan sorti des années 1970 a privé inutilement des millions de personnes d’un des aliments les plus sains de la planète. 
Car cela fait maintenant des années qu’on le sait : le cholestérol contenu dans les aliments n’a aucune influence négative sur votre cholestérol. 
La raison est simple : c’est le foie qui produit l’essentiel du cholestérol de votre organisme. 
Lorsque vous avalez du cholestérol contenu dans les aliments, le foie réduit d’autant sa propre « production ». C’est pourquoi vous pouvez avaler 3 œufs par jour sans que votre cholestérol (LDL) ne bouge d’un iota. 
Aucun risque, donc, pour votre cœur. 
Des études portant sur des centaines de milliers de personnes ont montré de façon répétée que ceux qui consomment beaucoup d’œufs n’ont pas plus de risque que les autres de développer une maladie cardiaque [3]. 
Face à cette avalanche de preuves, les autorités américaines ont fini par changer leur fusil d’épaule. Les nouvelles recommandations officielles, publiées en 2016, contiennent enfin, noir sur blanc, l’aveu qu’il est totalementinutile de réduire sa consommation d’aliments riches en cholestérol. 
Et cela tombe bien, car ce sont souvent des aliments extrêmement sains, comme les fruits de mer, le foie de veau (et autres abats) ou les sardines. Quant à l’oeuf, c’est un véritable « super-aliment » qui mériterait être consommé tous les jours
Le blanc d’œuf est composé à 100 % d’excellentes protéines, idéales pour le petit-déjeuner. Et le jaune est rempli de vitamines (A, B2, B5, B6, B9, B12, D, E et K), d’anti-oxydants ainsi que de « choline », un nutriment rare qui protège votre mémoire. 
D’ailleurs, saviez-vous à quoi la doyenne de l’humanité actuelle, l’italienne Emma Morano (116 ans !), attribue son incroyable longévité ? Aux trois œufs qu’elle mange tous les jours, depuis l’âge de vingt ans ! 

Mensonge n°5 : Remplacez le beurre par l’huile de tournesol
Priver les citoyens d’un « super-aliment » est dommage. Mais il est beaucoup, beaucoup plus grave de leur conseiller d’avaler un aliment toxique
C’est ce qui s’est produit dans les années 1970 (encore !), lorsque l’on a commencé à dire aux gens de remplacer les graisses animales, comme le beurre, par des huiles végétales, comme l’huile de tournesol ou de maïs. 
Or on sait aujourd’hui que ces deux huiles font partie des aliments les plus nocifs qui existent
Le problème est qu’elles sont bourrées d’omégas-6, dangereux lorsqu’ils sont consommés en excès : ils augmentent votre risque de surpoids, de diabète… et de crise cardiaque [4] ! 
Etait-il au moins justifié de recommander de réduire les graisses animales, pour éviter de boucher les artères ? 
Même pas. 
On s’est aperçu que le régime traditionnel des Eskimos (inuits) était composé presque exclusivement de viandes et poissons extrêmement gras comme le phoque, la baleine, le morse ou le renne… 
…Et cela ne les empêchait pas d’avoir un des taux de maladie cardiaque les plus bas au monde ! 
En réalité, il n’existe aucun lien entre la consommation de graisses animales dites « saturées » et le risque de maladie cardiaque. C’est ce qu’a conclu le rapport de référence de 2010 sur le sujet, qui incluait 21 études et 347 000 personnes suivies. 
Pour enfoncer le clou, deux chercheurs ont publié en avril 2016 les résultats d’une étude datant des années 1970, qui sont d’autant plus explosifs qu’ils ont été camouflés pendant près de 30 ans [5]
A l’époque, les chercheurs avaient sélectionné 9 000 personnes qui vivaient en établissement médicalisé, et dont ils pouvaient contrôler le régime alimentaire à 100 %. 
Pendant des années, la moitié d’entre eux a suivi un régime alimentaire « classique », relativement riche en graisses saturées (beurre, fromage et viande). L’autre moitié s’est vu priver d’une bonne partie de ces graisses et, pour compenser, a consommé une dose importante d’huile de maïs. 
Eh bien au bout de cinq ans, les pauvres cobayes du deuxième groupe ont eu deux fois plus de crise cardiaque que ceux du premier (41 % contre 21 %) ! 
Voilà ce qui arrive quand on demande aux gens de consommer massivement des produits industriels (huile de maïs ou de tournesol) qui n’ont jamais fait partie du régime traditionnel d’aucun peuple sur la planète ! (les huiles d’olive et de colza, elles, sont consommées depuis des millénaires et sont précieuses pour la santé). 

Mensonge n°6 : les compléments alimentaires sont inutiles et dangereux
Quand on écoute les médias, les autorités ou les médecins, on a souvent l’impression que les compléments de vitamines, minéraux et autres micro-nutriments sont au mieux de la poudre de perlimpinpin, et au pire des poisons en puissance. 
Il est vrai qu’il existe de véritables arnaques, particulièrement dans le domaine de la « minceur » : non, évidemment, vous ne perdrez jamais 5 kilos par mois en avalant des pilules ! 
Mais n’oublions pas que de nombreux médicaments ne valent pas mieux. D’après les Professeurs Even et Debré, plus de la moitié des médicaments vendus en pharmacie sont inutiles… avec des effets secondaires parfois effrayants. 
Les compléments alimentaires, eux, sont inoffensifs dans l’immense majorité des cas. Et si vous les choisissez bien, ils peuvent faire une grande différence pour votre santé. 
Car contrairement à une idée reçue, il ne suffit pas de « manger équilibré » pour ingérer toutes les vitamines et minéraux dont votre corps a besoin. 
L’exemple le plus évident est la vitamine D. C’est une vitamine qui a la particularité d’être quasiment absente des aliments… et d’être synthétisée par notre organisme uniquement lorsque notre peau est exposée au soleil ! 
http://www.le-comptoir-malin.com/blog/alicaments/vitamine-d3-un-combine-de-vitamines.html
Et comme nous passons l’essentiel de notre temps entre quatre murs, il est très fréquent d’être en carence aujourd’hui. Selon une étude publiée en 2012, pas moins de 80 % des Français sont en déficit de vitamine D [6] ! 
C’est un chiffre dramatique quand on sait qu’une carence en vitamine D est associée à un risque plus élevé de mourir d’accident cardiaque, de cancer ou d’infection [7]. 
Voilà donc un premier complément alimentaire que presque tous les Français devraient prendre, tous les jours, la vitamine D ! 
Mais ce n’est pas le seul. 
Un effet pervers du développement de l’agriculture intensive est que les fruits et légumes sont désormais beaucoup moins nutritifs qu’avant. 
Des chercheurs ont calculé qu’une pomme d’aujourd’hui contient 100 fois moins de vitamine C qu’il y a 50 ans ! Et si vous voulez obtenir la même dose de vitamine A contenue dans une orange de la même époque, vous devez désormais en consommer 21 [8] ! 
Voilà pourquoi des nutritionnistes éminents, comme le professeur Willet de l’Université de Harvard, recommandent à tous, en plus d’une alimentation équilibrée, de prendre chaque jour un complément multivitamine de qualité. 
http://www.le-comptoir-malin.com/blog/alicaments/pack-vitalite.html

http://www.le-comptoir-malin.com/blog/alicaments/green-angel.html

Mensonge n°7 : Le « sans-gluten » est une mode stupide
On présente souvent le « sans-gluten » comme un « effet de mode », un « nouveau snobisme », voire même « un régime risqué ». 
Mon propre médecin m’a regardé avec pitié, il y a des années, lorsque je lui ai parlé d’arrêter le gluten. 
Pour la médecine officielle, si vous ne faites pas partie des 1 % de la population intolérante au gluten (maladie coeliaque), vous n’avez aucune bonne raison de vous en priver. 
Mais si vous écoutez les patients, vous entendez un tout autre son de cloche. 
Ils sont de plus en plus nombreux à arrêter le gluten, et à témoigner du bien que cela leur a fait : fini les problèmes digestifs qu’ils traînaient depuis des années, fini les douleurs inexpliquées ou les fatigues anormales. 
Et pourtant, Dieu sait qu’il est pénible de devoir manger sans gluten 365 jours par an. C’est une protéine contenue dans les céréales comme le blé ou l’orge, et que l’on trouve donc dans la plupart des pains, des pâtes, des sauces et des gâteaux. 
Manger « sans gluten » est donc un parcours du combattant dès que l’on sort de chez soi et que l’on mange à la cantine, au restaurant ou chez des amis. 
Ceux qui suivent ce régime ne le font pas par gaieté de cœur, et encore moins par effet de mode… mais bien parce qu’ils en constatent les effets sur leur santé ! 
Et la science leur donne raison. 
Car le blé d’aujourd’hui n’est pas le même qu’au début du 20ème siècle. Par croisements génétiques, le blé moderne contient 42 chromosomes, là où le blé ancestral n’en avait que 14. 
Et l’un des effets de ce blé « mutant »… est qu’il contient beaucoup plus de gluten qu’avant ! 
Or la gliadine du gluten produit un effet désastreux sur votre intestin : il le rend plus perméable, plus poreux [9]. 
C’est dangereux, car votre intestin risque alors de laisser passer dans le sang des fragments d’aliments, ce qui peut déclencher des réactions inflammatoires, des douleurs… et même des maladies auto-immunes. 
Voilà pourquoi tout le monde gagnerait à réduire sa consommation de gluten, y compris ceux qui le supportent très bien. 
Le seul « risque » que vous prenez, c’est de vous priver d’aliments peu recommandables comme le pain, les pâtes et la plupart des produits industriels… et de devoir compenser ce « manque » en mangeant plus de fruits, de légumes et de bonnes graisses ! 

Mensonge n°8 : Les produits laitiers sont nos amis pour la vie
Tout le monde l’a entendu au moins une fois : il faudrait manger « au moins 3 produits laitiers par jour ». 
C’est le conseil donné aux Français sans relâche depuis des dizaines d’années. Mais sur quoi repose-t-il vraiment… sinon sur l’influence du lobby laitier ? 
On peut se poser la question quand on sait que les trois quarts de l’humanité ne possèdent pas l’enzyme permettant de digérer le lactose… et ne boivent donc pas la moindre goutte de lait à l’âge adulte. 
Sont-ils pour autant en mauvaise santé ? Pas du tout. Les Japonais vivent même plus longtemps que les Européens, sans le moindre produit laitier. 
Mais ne manquent-ils pas de calcium ? Leurs os ne sont-ils pas fragiles ? 
Au contraire : ils subissent nettement moins de fractures que les scandinaves, qui sont pourtant les plus grands consommateurs de produits laitiers au monde ! 
En fait, la dose quotidienne de calcium indispensable à la santé de vos os est assez basse et très facile à atteindre sans la moindre goutte de lait. 
Inutile, donc, de vous gaver de lait en croyant faire du bien à vos os. Et ce d’autant moins que les produits laitiers ont une face très sombre :
- Le lait non bio contient de forts taux de pesticides ; 
- Le lait de vache est riche en hormones bovines (œstrogène, progestérone et insuline) utiles à la santé du veau, mais inadaptées à notre organisme ; 
- Et de nombreuses études ont établi que les gros consommateurs de lait ont plus de risque que les autres de contracter un cancer de la prostate [10]. 

Et je ne vous parle pas des dégâts digestifs que peut causer le lait chez ceux qui le digèrent mal. Or les intolérants au lactose sont beaucoup plus nombreux qu’on ne l’imagine : en France, ils représentent environ 41% de la population ! 
Bref, ne vous forcez surtout pas à manger le moindre produit laitier. Et si vous les appréciez, essayez de ne pas dépasser une portion par jour, de privilégier le lait de brebis ou de chèvre… et de les choisir bio ! 

Mensonge n°9 : Manger gras est mauvais pour la santé
Le gras, c’est la vie ! 
L’être humain peut se passer de sucre (car il peut produire du glucose à partir de ses réserves de graisses et des protéines)… mais il ne peut pas se priver de bonnes graisses. 
Nous sommes, par exemple, incapables de fabriquer nous-mêmes les fameux oméga-3, si précieux pour le bon fonctionnement de notre cœur et de notre cerveau. 
Voilà pourquoi notre alimentation doit impérativement comporter des graisses comme l’huile de colza ou les sardines, riches en oméga-3. 
De plus, se priver de gras, c’est aussi se priver d’aliments délicieux et excellents pour la santé comme : 
- l’avocat – rempli de fibres et de potassium, 
- les noix, amandes et noisettes – pleines de vitamines. 
- le chocolat noir – bourré d’anti-oxydants, 
- et les œufs – remplis de choline. 
Et pour couronner le tout, éliminer le gras, c’est faire de sa vie un véritable enfer
Car non seulement le gras est ce qui donne du goût à vos recettes, vos sauces et vos assaisonnements... mais c’est aussi ce qui vous tient le plus « au corps ». 
Si vous vous en privez, vous risquez d’être tenaillé par la faim en permanence. 
Et ce ne sont pas les glucides qui vont vous aider à vous « caler », car elles n’offrent pas la même sensation de satiété que les graisses. 
C’est même le contraire qui est vrai : plus vous mangez des sucres rapides, plus vous avez envie de vous jeter sur les aliments les moins recommandables, comme les glaces ou les tartines de Nutella. 
Voilà pourquoi l’injonction de « manger sans gras » est l’un des pires conseils que l’on puisse vous donner pour votre santé. 
Et ce, d’autant plus que manger moins gras oblige à prendre beaucoup de féculents ! 
 

Mensonge n°10 : Avalez des féculents à chaque repas
Si l’on en croit le Programme National Nutrition Santé (PNNS), vous devriez avaler chaque jour un maximum de féculents : pâtes, pommes de terre, pain, céréales, légumineuses. 
Ce seraient des sucres « complexes », nous dit-on, et donc des « sucres lents ». 
C’est vraiment se moquer du monde, car cela fait au moins 20 ans que l’on sait que la plupart d’entre-eux sont en réalité des sucres rapides, avec un indice glycémique élevé. 
On l’a vu pour le pain, mais c’est également le cas des pommes de terre et, dans une moindre mesure, du riz blanc et des pâtes. Comme tous les sucres rapides, ils sont donc à éviter. 
Préférez les féculents qui ont un indice glycémique bas ou modéré, comme le riz thaï semi-complet, le sarrasin, la patate douce ou les légumineuses. 
Mais sommes-nous obligés d’en consommer à chaque repas, comme le PNNS nous le demande ? 
Pas du tout : en fait, cela dépend totalement de votre métabolisme personnel et de votre niveau d’activité physique. 
Si vous êtes très sportif, ou que vous faites un travail manuel intense, alors vous avez effectivement besoin d’une dose importante de glucides. Les féculents vous fournissent l’énergie dont votre corps a besoin pour l’effort. 
Mais si vous êtes assis toute la journée derrière un bureau, manger des féculents risque de vous faire plus de mal que de bien… à commencer par vous faire grossir ! 
Toutes les études récentes le montrent [11] : un régime pauvre en glucides a de bien meilleurs effets que le régime « féculent » recommandé par le PNNS :
- Sur la perte de poids [12] et en particulier sur la graisse abdominale ; 
- Sur le niveau de la pression artérielle [13] ; 
- Sur le niveau du taux de sucre sanguin [14] ; 
- Et sur le niveau des triglycérides [15] ; 
Voilà de bonnes raisons de réduire les féculents ! C’est même la première chose à faire si vous cherchez à maigrir : 

Mensonge n°11 : pour maigrir, réduisez les calories 
Si l’on en croit les nutritionnistes officiels, pour maigrir, il suffirait de réduire les calories. 
Et comme les graisses (lipides) contiennent plus de calories que les glucides, ils vous conseillent en priorité d’éliminer les aliments « gras » ! 
Ce serait logique si toutes les calories se valaient. Mais comme nous l’avons vu, ce n’est absolument pas le cas… et c’est donc un conseil désastreux. 
Avant de réduire le nombre de calories avalées, il faut d’abord se préoccuper de consommer des calories qui procurent un sentiment de satiété et de sérénité. 
Et savez-vous pourquoi la plupart des régimes amaigrissants se soldent par un échec retentissant ? 
Pour des raisons hormonales : lorsque vous vous privez de nourriture, vous faites subir à votre corps un véritable stress [16]. Et lorsqu’il est stressé, votre corps produit davantage de cortisol… une hormone qui augmente mécaniquement votre sensation de faim et votre appétit. [17]  
Ainsi, pour « récupérer » du stress que vous lui faites subir par votre régime, votre organisme vous réclame des aliments caloriques, gras et sucrés de préférence. 
Vous êtes donc soumis au supplice de la tentation… au moment même où vous cherchez à éviter les calories ! 
Voilà pourquoi votre priorité, si vous cherchez à maigrir, ne doit pas être de manger moins, mais : 
- De manger mieux : plus de protéines, de végétaux et de bonnes graisses, moins de produits industriels et moins d’aliments à indice glycémique élevé ; 
- De lutter contre le stress de votre vie quotidienne, notamment par des exercices de respiration et de relaxation ; 
- Et de veiller à dormir suffisamment, car la privation de sommeil est un stress chronique qui, lui aussi, augmente considérablement votre appétit ! 
Si vous faites tout cela, il y a de bonnes chances que vous observiez votre poids revenir à la normale, sans rien faire d'autre. 

Mensonge n°12 : Buvez l’eau du robinet sans inquiétude
L’eau est « l’aliment » le plus important pour votre santé, de très loin. Vous avez intérêt à en boire suffisamment… et à vous assurer qu’elle est de bonne qualité ! 
Avec l’eau du robinet, il est, malheureusement, très difficile d’être serein. Nos gouvernements ont beau nous assurer qu’elle ne pose aucun problème, la réalité est qu’elle contient un cocktail de produits chimiques tout sauf rassurant. 
Il y a d’abord des doses de nitrates et de pesticides. Régulièrement, les niveaux d’alerte sont dépassés dans certaines communes. 
C’est bien connu… Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. 
Car il y a des substances au moins aussi dangereuses que les autorités ne mesurent pas : ce sont les « résidus médicamenteux ». 
D’après les plus grands experts toxicologues, comme le Professeur Jean-François Narbonne, on trouve désormais dans l’eau du robinet des doses significatives de pilules contraceptives et d’antibiotiques… des substances qui font des dégâts sur nos hormones et notre flore intestinale. 
Malheureusement, les stations d’épuration en France ne sont pas prévues pour purifier l’eau de ces produits chimiques modernes. 
Elles se bornent à la « désinfecter ». Et pour cela, elles utilisent du chlore, ce qui pose un autre problème sérieux, car c’est aussi une substance toxique, soupçonnée d’être cancérigène. 
Et ce n’est pas fini : car pour arriver jusqu’à votre robinet, l’eau doit bien passer par des tuyaux. 
Or le revêtement de ces tuyaux peut contenir des phtalates (un perturbateur endocrinien) ou même du plomb (un dangereux neurotoxique). 
Il y a beau avoir des « normes sanitaires », la vérité est que personne n’a la moindre idée de l’impact qu’un tel cocktail chimique peut avoir sur notre santé. 
Dans le doute, mieux vaut privilégier l’eau en bouteille ou installer un système de filtration de qualité dans son foyer. 

Concept hydratation cellulaire 1

Concept de l’Hydratation Cellulaire en purifiant et en équilibrant le PH de l’eau pour la rendre anti-oxydante et parfaitement bio assimilable. RLP propose plusieurs solutions pour le traitement de l’eau dont un ionisateur d’eau. Celui-ci a une chambre d’ionisation cylindrique brevetée unique sur le marché qui permet un PH constant et un entretien réduit par rapport aux autres appareils.
En savoir plus sur http://www.le-comptoir-malin.com/blog/rlp-concept/rlp-concept-le-reseau-qui-monte.html#26PQQrZwQp4jFRcR.99

 

Vous l’avez compris : la nutrition est un des piliers fondamentaux de la santé, du corps et de l’esprit. 
C’est pourquoi l’alimentation et la nutrithérapie feront partie intégrante du programme Santé Corps Esprit

Xavier Bazin 

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Sources :
[1] Estimated Global, Regional, and National Disease Burdens Related to Sugar-Sweetened Beverage Consumption in 2010, Micha R, Singh GM et al. 

[2] Glycemic index and glycemic load for 100+ foods, Harvard Health Publication 

[3] Rethinking dietary cholesterol, Fernandez ML 

[4] Use of dietary linoleic acid for secondary prevention of coronary heart disease and death : evaluation of recovered data from the Sydney Diet Heart Study and updated meta-analysis, Christopher E Ramsden, clinical investigator et al. And n-6 fatty acid-specific and mixed polyunsaturate dietary interventions have different effects on CHD risk : a meta-analysis of randomised controlled trials, Ramsden CE et al. 

[5] High cholesterol diet is not linked to increased heart risk, study shows, Susan Mayor 

[6] Vernay M. et al. Vitamin D status in the French adult population : the French Nutrition and Health Survey (ENNS, 2006-2007). Usen, invs, Avril 2012. 

[7] Voir les études citées dans cet article de vulgarisation paru dans Authority Nutrition : 9 reasons to optimize your vitamin D levels 

[8] Nutrient changes in vegetables and fruits, 1951 to 1999, compiled by Jeffrey Chritian for CTV News 

[9] Effect of gliadin on permeability of intestinal biopsy explants from celiac disease patients and patients with non-celiac gluten sensitivity, Hollon J. et al. 

[10] Dairy intake and prostate cancer risk : results from California collaborative prostate cancer study, Raj Satkunasivam et al. The Journal of Urology

[11] Comparison of the Atkins, Zone, Ornish, and LEARN Diets for Change in Weight and Related Risk Factors Among Overweight Premenopausal WomenThe A TO Z Weight Loss Study: A Randomized Trial, Christopher D Gardner, PhD, et al. 2007 

[12] A low-carbohydrate diet is more effective in reducing body weight than healthy eating in both diabetic and non-diabetic subjects, Dyson PA, et it. 2007 

[13] Short-term effects of severe dietary carbohydrate-restriction advice in Type 2 diabetes--a randomized controlled trial. Daly ME et al. 2006 

[14] The effect of a low-carbohydrate, ketogenic diet versus a low-glycemic index diet on glycemic control in type 2 diabetes mellitus. Westman EC, et al. 2008 

[15] Effects of weight loss from a very-low-carbohydrate diet on endothelial function and markers of cardiovascular disease risk in subjects with abdominal obesity, Jennifer B Keogh et al. 2008 

[16] Low calorie dieting increases cortisol. Tomiyama AJ et al. Psychosom Med, 2010 

[17] Stress may add bite to appetite in women: a laboratory study of stress-induced cortisol and eating behavior, Elissa Epel, The Official Journal of ISPNE, 2001 

[18] Impact of Dietary Sodium Restriction on Heart Failure Outcomes, Doukky R et al. JACC Heart Fail, 2016

 

 

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