<
Créer un site internet

Mon Blog

le-blog.png

 

 

 

 

 

 

BONJOUR! à vous tous qui désirez vous informer par le biais de ce blog.

Je suis heureuse de pouvoir communiquer avec vous et vous remercie de l'intérêt que vous portez à mes pages........


 

livres-gris.jpg

 

        Ma "BOUTIQUE PARTENAIRE", des livres intéressants... Cliquez-moi!

 

LES CATEGORIES:

 

ARTICLES PERTINENTS DE PERSONNES ECLAIRES!
ALLIANCE ETHIQUE
BON A MEDITER....!
GENERALITES.
INFORMATIONS SUR LE BIEN-ÊTRE ET L'HYGIENE
THERAPIES A L'HONNEUR!
BON A MEDITER....!
GENERALITES.
ALICAMENTS
PSYCHO - EXISTENTIEL
EVEIL
RECETTES NATURE
SECRETE NATURE
VIE PRATIQUE
CREA - FORME
ASTUCES
DECOUVERTE
ALIMENTATION SANTE
INFO-SONDAGES
BIO-MINCEUR

YOUNIQUE
  • GESTION DU POIDS - AMINCISSEMENT

    VOUS AVEZ LE POUVOIR DE MINCIR ET DE RESTER MINCE, NATURELLEMENT, SANS PRIVATION. VOUS ALLEZ DÉCOUVRIR COMMENT MINCIR

    Vous êtes une jeune femme ? Vous êtes un homme ?
    Le nombre de françaises et de français désirant mincir, perdre un peu de poids, affiner leur silhouette, perdre un peu de ventre, un peu de fesses, remodeler les formes…. Ne cesse de croître d’année en année.
    Malgré des campagnes gouvernementales comme "5 portions de fruits et légumes par jour", le poids moyen des français et françaises ne cesse d’augmenter. L’excédent de poids touche aujourd’hui de plus en plus les jeunes adultes, les ados et les enfants.
     
    Cela est-il inévitable ?
    Même si la qualité des repas consommés se dégrade, même si la consommation de repas fast food progresse, même si les offres de barres chocolatés, de sodas, de gâteaux en parts individuelles se développent, manger déséquilibré, souvent, trop souvent, n’est pas une fatalité

    Mincir
    Quelque soit vos habitudes alimentaires, celles-ci peuvent évoluer, s’améliorer et changer pour vous garantir et un état de bien-être meilleur et une silhouette qui corresponde mieux à vos attentes. Seul votre désir de changement peut vous mener à réaliser, jour après jour, semaine après semaine les changements profitables. Personne ne peut vous obliger à changer vos habitudes. Vous êtes le seul décideur, le leader de votre viePersonne ne vous oblige à manger mal, déséquilibré, trop, trop souvent et personne ne vous obligera à manger plus sainement. Vous devez le décider et mettre ensuite en place une stratégie minceur et remise en forme, globale et durable.
     
    Nourriture 1
     
    Pourquoi mangeons nous si mal ?
    La vie est faite de croyances. Ce sont nos croyances qui déterminent nos comportements et nos habitudes. Nous adoptons des croyances sur tout, au fur et à mesure des années qui passent. Ces croyances proviennent de l’influence de ce qui nous entoure.
    Nos parents : Si ceux-ci mangent déséquilibré, le seul modèle alimentaire que l’on aura durant notre évolution d’enfant à jeune adulte sera celui fourni par nos référents, dont nous sommes tributaires pour survivre. Bien sûr, il sera toujours possible, plus tard, ayant atteint la liberté, de changer notre hygiène de vie.
    Les amis influencent également nos croyances et donc nos choix. Lorsque nous nous construisons, il est facile de faire "comme les copains" afin d’intégrer le cercle et éviter le rejet. Et nous le savons, ce que nous faisons, encore et encore, devient une habitude. Toute habitude est alors difficile à remplacer, car une habitude est un automatisme.

    Diner entre amis

    La télévision, la radio, les publicités, les acteurs de films et téléfilmsinfluencent également nos croyances. Comme nous le savons depuis Goebel (propagande Hitlérienne), un mensonge répété suffisamment de fois finit toujours par devenir une vérité. Une publicité récurrente, présente année après année, partagée avec son groupe de référence (les gens que l’on aime, le groupe auquel on adhère) suffira à faire rentrer tel type d’aliment, tel association alimentaire… comme une vérité, comme l’unique façon de s’alimenter.
    Une croyance n’a pas besoin d’être juste, vraie, bénéfique. Une croyance a du pouvoir lorsqu’elle entraîne du plaisir, de la satisfaction, rend la vie "cool"...
     
    Souffrance et plaisir
    Nous agissons selon deux critères. En fonction de ce qui nous donne du plaisir et en fonction de ce qui nous est désagréable, pénible, qui nous fait souffrir...
    Nous avons tendance à fuir le désagréable et rechercher simultanément l’agréable, le doux…
     
    Les aliments qui font grossir
    Les aliments qui font généralement grossir, sont ceux qui donnent le plus de plaisir rapidement. Se sont des fast food redoutables du plaisir ! On trouve les produits sucrés, car le sucre est "doux", est assimilé rapidement dans le sang, ce qui boost tout l’organisme et le mental. Le gras est aussi agréable en bouche, car moelleux, tendre...tout le contraire de la vie "difficile", "pénible"… Bien sur, sucré et gras associés gagnent haut la main. Une brioche, une pâte à tartiner, une viennoiserie…. Qui n’aime pas ? C’est agréable en bouche, tendre, doux, moelleux, quoi de mieux comme perception quand rien ne va dans notre vie (amoureuse, travail, famille….), qu’il fait froid, que tout nous paraît austère, dur, incertain ?
     
    Quand le plaisir finit par créer de la souffrance
    Manger gras et sucré est redoutable car les cellules vont réclamer encore et encore afin de ressentir le plaisir que cela engendre. Mais ces produits sont dramatiquement riches en mauvaises calories et dramatiquement pauvres en éléments nutritifs. Plus nous mangeons de cela et plus nous nous déséquilibrons, plus nous sommes déséquilibrés et plus nous recherchons le plaisir à travers ces mêmes aliments. 
     
    Savez-vous que pour assimiler au mieux les sucres, le corps a besoin d’avoir à disposition, simultanément des vitamines du groupe B, des minéraux ?Savez-vous que ces aliments gras sucrés sont malheureusement hyper pauvres en ces substances ? C’est pour cette raison qu’ils nous déséquilibrent et finissent par nous faire grossir. Vous comprenez maintenant le problème. En mangeant ces aliments gras sucrés, rapide, nous apportons des substances qui génèrent du plaisir, mais apportent des calories qui vont faire grossir, et nous nous déséquilibrons en substances vitales, préparant ainsi le terrain pour ressentir le besoin d’aliments plaisirs.
     
    Le bonheur, c’est la douceur. Le manque de joie, c’est le manque de douceur, de sucré. Il est logique alors de rechercher dans la nourriture, ce que la vie psychique et émotionnelle, ne semble plus apporter. Alors commence la prise d’aliments gras et sucrés, sources de plaisirs certains, réconfortants, rassurants, apaisants. Ceci, en fait ne doit pas être perçu comme un problème, mais comme la solution que trouve un être en souffrance. Manger gras et sucré ou dépérir, souffrir et mourir. Manger ainsi entraîne une sécrétion de neurotransmetteurs de joie et plaisir qui vont inonder les cellules. Les cellules vont aimer, l’individu va aimer, et cellules et individus vont rechercher encore et encore cet état. Logique, compréhensible. Quand quelque chose est agréable, nous souhaitons tous en obtenir d’avantage. Ainsi commence la spirale infernale, car les conditions extérieures ne changent pas, la perceptions de ce monde extérieur ne change pas non plus, l’apport en substances vitales, garant de l’équilibre cellulaire et donc général n’est plus assuré, favorisant une certaine "faiblesse physique et psychique ".
     
    Sortir de la spirale infernale
    Vous l’avez compris, nous sommes un corps et un esprit. C’est donc sur ces deux secteurs qu’il nous faut « travailler » pour sortir de cette spirale qui entraîne la prise de poids, dégrade progressivement la santé physique et psychique (perte d’estime de soi, on ne se plait plus dans le miroir (que l’on évite)…)
    Nous devons changer notre vision du monde, enclencher un changement qui nous permet de voir la vie sous un angle nouveau, plus positif, plus bénéfique. Et il nous faut commencer, progressivement à manger plus sainement. J’insiste : progressivement ! Ce n’est pas une révolution qu’il faut accomplir, mais une évolution constante, progressive, durable. Il faut aussi comprendre et se rassurer : manger des aliments gras et sucrés n’est pas et ne sera jamais interdit. Tout est question de mesure. Inutile de vous faire peur en pensant : Plus jamais de soda, plus jamais de fast food, plus jamais de gâteaux, plus jamais de barres chocolatées… Il nous faut arrêter d’utiliser des mots comme "toujours" et jamais". 
     
    Manger plus sainement 80/20
     

    Vous venez de lire "plus sainement". Vous n’avez aucune obligation à manger sainement 24h / 24h, ni 7 jours sur 7 ! Votre corps, votre esprit ont besoin de moment de détente, de "rigolade", de "légèreté".  Votre corps sait très bien gérer un peux de "mauvais gras", de  "mauvais sucre", de "mauvais alcool". Le tout est une question de ratio. Si 80% de votre nutrition est "saine", alors les 20% n’occasionneront aucun désordre véritable.
    Beaucoup vivent avec ce ratio inversé : 80 d’aliments « malsains » et 20% d’aliments « sains ». Avec cela, le corps ne peut faire de miracle !
    Pouvez vous vivre avec l’idée de garder 20% d’aliments "pur plaisir" ? Je pense que oui !
     

    Programmé pour la santé 
    Si vous comprenez ce qui va suivre, vous allez définitivement changer votre façon de vous alimenter et de vivre, promis ! 
    Comprenez cela : Votre corps est une communauté de 70 000 milliards de cellules. Ces cellules contiennent de l’eau et de l’eau circule autour de celles-ci. En définitive, vous êtes des cellules et de l’eau. Votre santé est donc directement reliée à la santé de vos cellules et à l’eauVotre objectif doit donc être : apporter à vos cellules ce dont vos cellules ont besoin, et apporter suffisamment d’eau de bonne qualité. Si vous réalisez cela simultanément, alors vous avez la quasi certitude d’améliorer grandement votre santé globale et donc votre ratio graisse corporelle-masse maigre.

    Si vous comprenez également ce qui suit, vous allez réaliser un changement profond
    Depuis la première seconde de votre existence, vos cellules travaillent à vous garantir la vie, sans que vous deviez leur expliquer quoi faire ! Chaque seconde des millions de cellules meurent, aussitôt remplacées par des millions de cellules qui prendront la suite du travail à réaliser pour vous assurer la santé. Chaque seconde, chacune de vos cellules traitent des millions d’informations et réalisent des milliers de réactions chimiques. Prenons les exemples suivants. Lorsque vous vous coupez la peau, le sang s’arrête de lui même de couler, une croûte se forme, puis une nouvelle peau apparaît. Qu’avez-vous fait pour cela ?

    Vous le comprenez, votre corps est programmé depuis le premier jour à vous maintenir en vie.
    Vous devez donc lui faire confiance et l’aider
    Dès ce jour, votre mission sera d’apporter à vos cellules ce dont elles ont besoin. Le reste ne vous regarde pas, c’est le travail de vos cellules. Faites correctement votre boulot, apportez ce que vos cellules réclament, et profitez de la vie, ensuite.

    Amour de soi

    Votre mission, la solution :
    Votre mission est simple : prenez soins de vos cellules et vos cellules prendront soin de vous.
    Vos cellules fonctionnent avec ce que l’on appelle des : macro éléments et des micro éléments
    Les macro éléments sont : les protéines, les glucides et les lipides
    Les micro éléments sont : les vitamines, minéraux, oligo-éléments, pigments.
     
    L’apport de macro éléments ne pose aucun problème dans nos pays riches. Nous avons tous assez de ces substances. C’est bien pour ça, d’ailleurs que nous grossissons. En revanche, l’apport des micro-éléments laissent grandement à désirer.
     
    Ces micro-éléments n’apportent aucune calorie, mais favorisent l’ensemble des réactions chimiques des cellules. Si vous désirez que vos cellules bossent bien pour vous, vous devez leur assurer un apport adéquat de ces substances vitales.
    Quand vous mangez des aliments gras-sucrés, ces substances vitales sont généralement absente, car le sucre et les farines utilisés sont blanc, c’est à dire raffinés, c’est à dire que ces substances vitales ont été éliminées.
     
    Plus vous mangez de macro-éléments, plus vous avez besoin de micro-éléments (pour assimiler les macro)
    Plus vous êtes stressé, plus vous avez besoin de micro-éléments (le stress fait consommer par les cellules ces micro)
     
    La première des action que vous devez mener est de vous assurer un apport adéquat et régulier en substances vitales, en micro-éléments.
    Ces vitamines, minéraux, oligo-élements se trouvent exclusivement dans les fruits et les légumes. Alors bien sûr, manger soudainement plus de fruits et de légumes à chaque repas, n’est pas facile.
    Nous trouvons aujourd’hui ce que l’on appelle des "super aliments" ( voir ma rubrique alicaments), des "super fruits". Nous pouvons trouver ces super aliments à l’unité, comme le fruit goji, le fruit açaï, l’algue spiruline, l’algue chlorella, le jus d’herbe d’orge. Chacun de ces super aliment est une merveille de la nature. Mais chacun à ses faiblesses et ses forces. Dès aujourd’hui vous devriez penser "synergie". 

    La synergie 
    Chaque super aliment est un….super aliments. Si vous pouvez consommer plusieurs super aliments simultanément, alors vous avez l’assurance d’apporter à votre corps un large éventail de substances vitales, indispensables au bon fonctionnement de vos cellules.
    Pour se faire, vous avez la possibilité d’acheter séparément, de la chlorella, de la spiruline, du jus d’herbe d’orge, de l’açaï, du goji, des fruits comme la myrtille, et des racines comme le curcuma.
    Vous allez découvrir que vos cellules aiment ces nouveaux apports, mais vous allez découvrir également que cela complique la vie ! Il faut acheter chaque super food, ce qui coûte cher, prendre assez mais pas trop de chaque, au final cela est onéreux et fastidieux.

    Nova-Slim Lipo 10
    Fabriqué en France par un laboratoire certifié HACCP
    La raison pour laquelle certains régimes ne réussissent pas, c'est parce qu'ils imposent des contraintes difficiles à mettre en oeuvre sur votre style de vie. Il vous est souvent proposé des régimes protéinés en vous faisant sauter des repas ou en vous privant de manger normalement. D'autres vous proposent d'utiliser de l'hydrate de carbone, des aliments ne contenant aucun gras. Dans tous les cas, on vous dit comment, quand et quoi manger afin d'espérer perdre du poids. 
    Certes, nous n'allons pas vous dire que vous allez perdre du poids en vous nourrissant à volonté du matin au soir de tout ce que vous désirez, sans faire de l'exercice physique et en buvant n'importe quelle boisson, mais Nova-Slim Lipo 10 est un complément alimentaire qui permet d'avoir une action sur la perte de poids sans contrainte de vous dire comment, quand et quoi manger. Manger équilibré le plus sainement possible avec un peu d'exercice physique en buvant suffisamment d'eau* dans la journée est le seul conseil de bon sens.
    * L'idéal est de boire une eau purifiée ionisée

    Pour commander : RLP
    Crééez votre compte client avec votre adresse mail et le Code mon distributeur : EFTA1633
     
    GREEN ANGEL, tout en Un
    Vous pouvez faire le choix d’un produit 100% naturel et complet. Ce produit se nomme GREEN ANGEL et réunit les super aliments, les plus riches et les plus complets que l’on peut actuellement trouver.
    Ce large spectre de super aliments vous assure un large apport en vitamines, minéraux, oligo-éléments, pigments et anti-oxydants. L’utilisation est simple puisqu’un stick de GREEN ANGEL dilué dans un verre de jus de fruits suffit chaque jour.
    Avec GREEN ANGEL, vous apportez à vos cellules tous ces micro éléments qui vont permettre à celles-ci de travailler à leur plein potentiel, et ainsi vous assurer un équilibre propice à votre bien-être. C’est aussi grâce à ce bien-être que vous pourrez progressivement faire de meilleur choix alimentaires. Car la vie est basée sur des spirales. Une mauvaise spirales vous entraîne toujours vers des actes malsains. En contre partie, rentrer dans une spirale bénéfique vous pousse simplement à faire des nouveaux choix sains qui eux même vous pousseront à ne nouveaux actes sains et ainsi de suite.
    Le plus simple, pour débuter, est de vous assurer un apport correct, journalier en ces substances vitales. C’est assurément le plus simple, puis que vous ne changer rien à vos habitudes. Puis progressivement, comme nous le verrons vous pourrez faire quelques modifications plus profondes.

    Boire
    Maigrir pour une femme
    L’eau est donc important pour votre bien être puisque présente dans chacune de nos cellules et autour de celles-ci. Même si cela peut sembler étrange, l’eau doit être assimilable par vos cellules. Toutes les eaux ne se valent pas. Je vous invite à boire régulièrement dans la journée de l’eau, sans rien d’autre ajouté. En effet, bien que l’on utilise de l’eau pour du thé, du café, des sodas, la présence simultanée de caféine, théines, tanins, sucres, gaz carbonique et divers autres substances, empêche une bonne absorption de cette eau. Pire, café, théine, par exemple ont un effet diurétique et votre corps perd par les urines et de l’eau et des substances vitales.
    Vous pourriez lire le livre "Votre corps réclame de l'eau"   aux  éditions Jouvence.
    Je vous conseille, sur les recommandations de ce spécialiste mondial de l’eau, de prendre :
    1- Un verre d’eau dès votre réveil
    2- Un verre d’eau 30 minutes avant chaque repas. Cela n’est pas fait pour manger moins, car cela ne marche pas de toute façon, mais pour que votre corps crée un gel protecteur anti-acide dans votre estomac.
    3- Un verre d’eau avant de vous coucher
    Si vous pouvez ajouter un verre dans la matinée et un dans la journée, cela sera parfait.
    ** L'idéal est de l'eau purifiée et ionisée ( je ferai un article) 
     
    Les fruits et les légumes
     
    Progressivement, voyez comment ajouter une portion de fruits et ou de légumes dans votre alimentation.
    Ces aliments sont riches en substances vitales et pauvres en mauvaises graisses. Ne faites pas une révolution, ajouter progressivement une portion, puis une deuxième et ainsi de suite. Quand bien même il vous faudrait un an pour obtenir votre alimentation parfaite, l’amélioration sur cette année sera profitable et vous aurez toutes les années suivantes pour profiter de vos nouvelles habitudes.
     
    Gardez toujours à l’esprit que le temps est votre meilleur ami. Ce que vous ne pouvez réaliser en une semaine, vous pouvez le réaliser en un mois, ce que vous ne pouvez réaliser en un mois, vous le pourrez sans doute en un trimestre…. Et ainsi de suite. Le tout est d’être constant et de choisir la spirale bénéfique. Gardez aussi à l’esprit que si vous prenez un produit comme GREEN ANGEL, vous apportez déjà des substances vitales bénéfiques à l’équilibre de vos cellules.
     

    Les lipides
    Vos cellules ont besoin de graisses pour travailler convenablement. C’est votre job que d’apporter progressivement les bonnes graisses. Celles-ci sont les oméga 3 et oméga 9.
    L’apport le plus simple et le plus économique est l’utilisation d’huile de colza. Cette huile, que vous choisirez biologique, obligatoirement, est non seulement la moins chère des huiles mais la plus parfaitement équilibrée en oméga 3, 6 et 9. Prix d’une bouteille : 4 à 6 euros ! Seulement !
    Prenez ce colza pour vos salades ou mettez une cuillère à soupe sur votre plat en fin de cuisson. Evitez de la cuire.
    Ce rapport idéal en oméga 3, 6 et 9 vous assurera une fluidité des membranes de vos cellules, ce qui vous assurera une bonne communication de vos 70 000 milliards de cellules, donc finalement une bonne santé globale (ces oméga sont bon pour le cœurs, le moral, les processus inflammatoires, les sécrétions hormonales…)
    Dans l’idéal, vous devriez progressivement diminuer vos apports en graisses saturées provenant des charcuteries, des viandes  grasses, des gâteaux. Essayez progressivement de découvrir quelques alternatives végétales à la viande et aux charcuterie. Savez vous qu’avant la seconde guerre mondiale 80% des protéines apportées provenaient du règne végétale et 20% du règne animal ? Aujourd’hui le ration s’est inversé. Sans doute pourriez-vous essayer de vous rapprocher de ratio 80 % végétal, 20% animal.

    Le sucre
    Attention sucres
     
    Le sucre est une création moderne, dans l’histoire de l’homme. Le sucre est un aliment hyper concentré. Il faut en effet un mettre de canne a sucre pour réaliser une c à soupe de sucre blanc. Ce sucre s’assimile trop rapidement dans le sang et favorise l’hyperglycémie, entraînant de la part de l’organisme une réponse massive, provoquant une hypoglycémie réactionnelle (le niveau de sucre circulant passe en dessous du seuil de santé). Dans cette situation l’on ressent généralement du stress, du mal être, de la fatigue, et surtout des envies de sucre, de tabac, de café. Cette diminution de sucre dans le sang est provoqué par la transformation rapide et massive du sucre en graisse, en graisse corporelle et cholestérol.
    Essayez de choisir pour sucrer vos boissons, du sirop d’agave, du sucre de coco ou du sucre complet intégral (rapadura). Progressivement, avec l’aide d’un produit comme Green Angel, riche en substances vitales apportées par la spiruline, chlorella, le jus d’herbe d’orge, l’acaï, le goji,… vos envies de sucre baisseront.
    Profitez-en pour choisir des aliments moins sucrés (un fruit plutôt qu’un gâteau, du pain et du chocolat noir plutôt qu’un pain au chocolat…)
     

    Les faux sucres

    Nous trouvons aujourd’hui des édulcorants comme l’aspartame, la stévia….
    Ces sucres natures ou chimiques ont un haut pouvoir sucrant, ce qui veut dire qu’ils donnent la saveur sucré en bouche sans apporter beaucoup de calories. De prime abord, cela est enthousiasmant. Cependant je vous invite à éviter ces faux sucres. 
    En effet, si vous percevez le goût sucré en bouche, c’est que votre cerveaux (grâce aux papilles) croit que du sucre (des glucides) arrive. Cela veut dire que le corps doit se préparer à digérer, et aussi que de l’énergie arrive….. bien sur il n’arrivera rien….puisque ce sont des faux sucres… Ne mettez pas votre corps en "branle bas de combat" pour rien. Apportez un peu des bons sucres, ou n’apporter rien !
     

    Activités physiques
    Devriez-vous pratiquer de l’activité physique ? Honnêtement, vous n’avez pas besoin du prétexte "mincir" pour pratiquer un minimum d’activité physique. L’activité physique est un besoin vital.

    Savez-vous également que ce qui brûle des calories 24h/24h, ce sont les muscles ? Ce qui veut dire : peu de muscle, peu de capacité à brûler des calories, ce qui veut dire : manger peu pour rester mince, ou prendre le risque de grossir année près année.
     
    Le stress
    Vous l’avez compris, le stress, le mal-être, c’est la porte ouverte à manger plus, gras et sucré, pour compenser ce sentiment. Plus vous serez calme et serein et plus vous pourrez choisir des aliments sains…qui eux mêmes vous aideront à vous maintenir calme et serein.
    Dans l’idéal, éliminer la source de stress est la solution. C’est comme un évier qui déborde. On peut investir dans des éponges…ou couper l’eau…réparer la fuite….
     
    En attendant l’élimination du stress, vous devez améliorer votre état. Un apport en substances vitales apportées par des supers aliments comme ceux de Green Angel, aideront votre corps et votre esprit à y faire face (le stress fait consommer par le corps de grandes quantités de ces substances pour y résister et survivre)


    Eliminer
    Nous pensons souvent qu’il faut prendre des plantes diurétiques pour mincir. Ces plantes font éliminer de l’eau.Jusqu’à preuve du contraire, l’eau n’est pas du gras. Si vous avez un excédent de poids, c’est un excédent de gras que vous avez. Perdre de l’eau est rapide, donc perdre du poids est rapide… mais cela n’est qu’une illusion et un mensonge. Ce que vous devez perdre est du gras ! de plus perdre de l’eau est dommageable à l’organisme. Vous pouvez lire le livre "Votre corps réclame de l'eau"   aux  éditions Jouvence.
    Je vous conseille en revanche des plantes dépuratives. Ces plantes vont aider votre corps à éliminer des déchets, des toxines. Ces substances épuisent votre organisme, ralentissent son fonctionnement. C’est d’ailleurs programmé dans votre génétique. Vous avez des "émonctoires" c’est à dire des organes excréteurs de toxines (foie, peau, intestins, nez….). Mais si vous avez un excédent de poids, vous avez obligatoirement un excédent de toxines, et votre corps est donc submergé.

    Des plantes comme la bardane, le pissenlit, la feuille de bouleau, l'artichaut.... sont traditionnellement utilisées pour favoriser ces éliminations et relancer la vitalité naturel du corps. Le produit Pure Angel, regroupe justement ces plantes dépuratives.

    L’association de substances vitales et de plantes dépuratives assurent une élimination parfaite, car vous le savez maintenant, tout dépend de vos cellules. Si vos cellules chargées des éliminations sont en pleine forme grâce aux vitamines, minéraux, oligo-éléments, elles sauront tirer le plus grand profit des plantes dépuratives de Pure Angel.
     
    Bien sur, si vous décidez de lancer le processus de nettoyage, essayer autant que possible d’éviter d’apporter simultanément trop de substances encrassantes (charcuterie, viandes grasses, gâteaux, sucres raffinés...)
     
    Voilà, vous avez maintenant la base pour entreprendre le changement et progressivement vivre votre nouvelle vie, plus mince, avec plus de joie, plus d’énergie, plus de bien-être.
     
    Cliquez ici pour accéder à ma boutique en ligne
    http://boutique.777newlife.com/?CodeCourtier=ANCS361
     
     

     

     
     
     
     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

     

     

     
     

  • Discours de Steve Jobs

    Wouaaaah...ça remue ...et tellement inspirant!
    Suivre son coeur même si cela nous éloigne un temps du chemin facile!!!
    - relier les points et avoir confiance en la vie
    - accepter les pilules les plus amères de la vie... et trouver le cadeau dissimulé
    - vivre chaque jour comme s'il était le dernier
     
    Discours de Steve Jobs, créateur et PDG de la société Apple, visionnaire, innovateur et "catalyseur" de l'invention de l'iMac, l'iPod, l'iPhone et l'iPad entre autres,
    lors d'une remise de diplôme à l'université Stanford aux Etats-Unis en juin 2005.
     

  • Le MSM

    Msm 1

    MSM, qui veut dire méthyle sulfonyle méthane est une forme de Soufre.
    Indispensable au transport de l’oxygène dans les cellules, le soufre est normalement disponible dans notre alimentation quotidienne. Depuis un demi-siècle, les pesticides et le raffinage des aliments ont pratiquement éliminé toute trace de soufre de notre nourriture. La carence ainsi créée pourrait être à l’origine de bon nombre de pathologies modernes.

    Ce composé soufré se retrouve naturellement en très faible quantité dans de nombreux aliments (fruits, légumes, grains, lait, algues, viande, fruits de mer, etc.), Le MSM provient de l’oxydation d’un sous-produit de la pulpe de bois (la lignine de pin…).
    C’est le quatrième élément le plus important dans le corps humain. Comme pour la silice, c’est sa forme organique" (via les végétaux) qui peut assimilable par les humains. 
    L’alimentation devrait nous apporter ce soufre, malheureusement notre nourriture moderne ne remplie plus à 100% cette fonction.

    L’action est les effets bénéfiques du MSM sont directement en relation avec les effets connus du soufre dans l’organisme.

    Le MSM est ainsi utile pour la formation et la protection des tissus conjonctifs (tendons, derme profond, collagène, cartilage, etc.), les cheveux, les ongles et les articulations.
    Le MSM facilite la régénération de toutes les cellules de l’organisme. Il élimine les métaux lourds tout en optimisant le transport de l’oxygène à travers la membrane cellulaire. Il est donc très indiqué pour nettoyer le foie qui, débarrassé de ses toxines, peut assurer au mieux son rôle de filtre.Ce qui signifie qu’il intervient favorablement sur la peau dans les problèmes dermatologiques : les cicatrices et autres marques s’amenuisent, les problèmes de peau comme l’acné, le psoriasis, l’eczéma, rougeurs, démangeaisons…ou les champignons disparaissent.

    Le MSM semble également participer et faciliter la transformation de notre nourriture en énergie disponible.

    Le MSM semble également participer aux mécanismes d’élimination des toxines hors du corps en soutenant les actions du foie et des intestins. Le transit semble également tirer un bénéfice de l’apport en MSM, rappelons que cela est la base d’élimination des déchets, mais que malheureusement plus d’une femme sur deux souffre de constipation.
    * * * ** Moins de déchets et moins de toxines, c’est naturellement plus de bien être.
    Le MSM diminue les symptômes liés au "rhume des foins".

    Retrouvez le M.S.M dans une solution naturelle contenant des principes actifs de plantes réputées pour leur bienfaits sur le confort et la souplesse articulaire :
    ARTHROMER

    Vous trouverez plus d'infos en suivant ce lien http://www.le-comptoir-malin.com/blog/alicaments/arthromer.html

     

    Ces informations ne remplacent pas l’avis d’un médecin. N’arrêtez jamais vos médicaments sans l’avis de votre médecins. La santé ne repose pas sur la prise d’un aliment « miracle » mais sur l’adoption d’une alimentation équilibrée et d’un mode de vie

     

     

     

     

     

  • La viande favorise le cancer ?

    Selon un nutrithérapeute, le problème est bien plus grave

    Faut il arrêter de manger de la viande ?

    Posté par Jean Paul Curtay 27OCT 2015

    Le débat explose de tous les côtés ces jours ci.

    Hier l'OMS annonce qu'elle déclare la viande rouge carcinogène probable.
    Ce soir dans l'émission Les Pouvoirs Extraordinaires du Corps Humain avec Michel Cymes et Adriana Karembeu (27 Octobre à 20H55 sur France 2), j'interviens sur ce sujet.
    Plutôt que de suivre des croyances, je préfère me référer aux études :

    Pourquoi faut-il se calmer sur la viande ?
    Les hominidés étaient chasseurs-cueilleurs, donc omnivores.
    On peut retracer les débuts de  domestication et de l’élevage des animaux à environ 10 000 ans.
    Mais pendant ces milliers d’années, l’homme consommait surtout es végétaux et un peu de poisson, de fruits de mer et de viande. Les associations couscous-pois chiche en Afrique du Nord, riz-soja en Asie, galettes de maïs-haricots rouges en Amérique, ont constitué la base alimentaire de la plupart des civilisations.
    L’époque moderne en industrialisant l’agriculture et l’élevage a changé brutalement la donne à partir de la fin de la 2ème guerre mondiale en quelques dizaines d’années. Un occidental ne conçoit plus de ne pas manger de protéines animales à chaque repas.
    Et par ailleurs la qualité de ces viandes a changé.

    Quelles sont les conséquences sur la santé de cette consommation accrue de viandes et de viandes industrielles ?

    Au-delà des effets directs sur notre forme, notre longévité et nos risques de maladies, les quantités de viandes que nous consommons ont des impacts indirects sur l’environnement et la santé.
    Les élevages industriels s’avèrent être des réservoirs d’agents infectieux à l’origine d’épidémies dangereuses comme les grippes aviaire ou porcine et produisent via l’abus d’antibiotiques, des bactéries antibio-résistantes responsables de plusieurs dizaines de milliers de décès chaque année en Europe.
    Les rejets de lisier, de méthane, se répercutent sur la qualité de l’air  et de l’eau, sur le réchauffement climatique (17% des gaz à effet de serre ont pour source les élevages d’animaux). Les quantités phénoménales de végétaux, surtout du soja et du maïs OGM, utilisées pour ces élevages sont causes de déforestation et de contamination par les pesticides, en particulier le glyphosate (Round Up), récemment classé dans les carcinogènes, dont sont abondamment arrosés tous ces végétaux. Or, il n’est même pas obligatoire en Europe de signaler sur l’étiquetage que les viandes proviennent d’animaux nourris par des OGM.
    Enfin, s’invitent dans ce débat les questions affectives, éthiques et philosophiques du bien-être animal et des fondements de notre civilisation. La supposée supériorité de l’homme sur l’animal l’autorise-t-il à faire vivre dans des conditions dignes de camps de concentration et d’exécuter des milliards d’animaux (un milliard chaque année en France) ?

    Sommes nous condamnés à rester des prédateurs « reptiliens » comme nos prédécesseurs animaux et humains du néolithique ou avons nous une chance d’évoluer vers un monde où les animaux accèdent à des droits, dont celui de vivre une vie décente ?
    Cette question du « spécisme » prend de l’ampleur,

    Mais quoi qu’il en soit, est-ce vraiment bon pour les humains de consommer autant d’animaux ?

    Comme je suis médecin, avant tout intéressé par la santé publique, mon propos va rester centré sur la consommation de la viande et la santé.
    Un tel propos n’a de valeur que fondé sur des études.

    Que disent les études ?

    La consommation de viandes est un facteur de surpoids.
    A calories égales la consommation de viandes augmente le risque de surpoids (EPIC-PANACEA) – en moyenne 2 kg tous les 5 ans pour 250 g de viande/j, effet le plus marqué pour le poulet
    La consommation de viande augmente aussi l’accumulation de graisse abdominale et le tour de taille, facteurs encore plus puissants de risque de diabète et de pathologies cardiovasculaires que le surpoids.
    Vergnaud AC et al, Meat consumption and prospective weight change in participants of the EPIC-PANACEA study, Am J Clin Nutr, 2010, 92 (2) : 398-407

    Les mécanismes sont probablement multi factoriels :
    altération de la flore par la viande et le manque de végétaux, or la flore produit à partir des fibres végétales du propionate qui réduit la prise alimentaire et devient pro-inflammatoires
    autres principes pro-inflammatoires de la viande : fer, leucine, acide arachidonique, endotoxines, réactions de Maillard
    présence de polluants multiples dont perturbateurs endocriniens reconnus comme un des 10 premiers facteurs de risque de surpoids et de diabète
    présence d’oestrogènes qui réduisent la vitalité sexuelle et la fertilité, la prise alimentaire, de sucre et d’alcool est la première « prédation déplacée » compensatrice des frustrations sexuelles  et affectives
    compétition des acides aminés branchés les plus abondants dans la viande (leucine, isoleucine, valine) avec le tryptophane avec pour résultat un effet anti-sérotoninergique (la sérotonine est le frein des pulsions) entraînant : mauvais contrôle pulsionnel, attirances et dépendances pour la « bouffe », le sucré, l’alcool…
    Les végétariens ont une flore qui produit plus de propionate, qui réduit l’appétit (et de  butyrate qui protège du cancer du colon)
    Arora T et al, Propionate. Anti-obesity and satiety enhancing factor ? Appetite, 2011, 56 (2) : 511-5.
    Scharlau  et al, Mechanisms of primary cancer prevention by butyrate and other products formed during gut flora-mediated fermentation of dietary fibre, Mutat Res, 2009, 682 (1) : 39-53..
    Meijer K et al, Butyrate and other short-chain fatty acids as modulators of immunity : what relevance for health ? Curr Opin Clin Nutr Metab Care, 2010,13 (6) : 715-21.

    La consommation de viandes est un facteur de risque de diabète

    La consommation de viandes augmente aussi les complications du surpoids : dyslipidémie, diabète, hypertension.
    Dans la cohorte des Adventistes du 7ème jour, ceux qui sont végétariens tous les jours ont un risque de diabète  étalonné à 1
    si un à 2 jour ils sont non végétariens le risque augmente de 10% chez les femmes de 40% chez les hommes,
    3 à 5 jours de 20% chez les femmes, de 50% chez les hommes
    6 jours de 130% chez les femmes et de 170% chez les hommes
    et ceci à poids égal
    D A Snowdon et al, Does a vegetarian diet reduce the occurrence of diabetes ? Am J Public Health, 1985, 75(5),  507–512
    Tonstad S et al, Type of vegetarian diet, body weight, and prevalence of type 2 diabetes, Diabetes Care, 2009, 32 (5) : 791-6.

    La dernière synthèse  des résultats de l’étude des Adventistes du 7ème jour qui comprend 15 200 hommes et 26 187 femmes objective des réductions significatives du poids, du syndrome métabolique, du diabète, des risques d’hypertension, de pathologies cardiovasculaire, de cancers et de la mortalité progressivement plus marquées avec la réduction des viandes et autres produits animaux et l’augmentation de la consommation d’aliments végétaux.
    Orlich MJ et al, Vegetarian diets in the Adventist Health Study 2 : a review of initial published findings, Am J Clin Nutr, 2014 Jul, 100 Suppl 1 : 353S-8S.
    En comparant 12 403 apparitions de diabètes de type 2 et 16 154 contrôles de la vaste cohorte européenne EPIC, on observe une réduction du risque de diabète de type 2 avec
    l’augmentation de la consommation de végétaux
    la réduction de la consommation de produits carnés transformés
    la réduction de boissons sucrées et de glucides raffinés.

    InterAct Consortium, Adherence to predefined dietary patterns and incident type 2 diabetes in European populations : EPIC-InterAct Study, Diabetologia. 2014; 57 (2) : 321-33 

    Cet effet de l’augmentation nette du diabète de type 2 par la consommation de viandes et de produits laitiers est attribué
    en grande partie à l’excès de leucine (un acide aminé dominant dans les viandes, mais aussi dans les produits laitiers et le maïs) qui stimule la voie pro-inflammatoire mTOR (aussi concernée par la vieillissement et les cancers).
    Les auteurs recommandent que l’on étudie les moyens de limiter les quantités de leucine dans l’alimentation.
    Melnik BC et al, Leucine signaling in the pathogenesis of type 2 diabetes and obesity, World J Diabetes, 2012 ; 3 (3) : 38-53

    Dans une très vaste étude récente sur plus de 50 000 personnes l’élévation de l’intolérance au glucose apparaît proportionnelle à la quantité de viande consommée.
    Fretts AM et al, Consumption of meat is associated with higher fasting glucose and insulin concentrations regardless of glucose and insulin genetic risk scores : a meta-analysis of 50,345 Caucasians, Am J Clin Nutr, 2015 Sep 9. pii: ajcn101238

    Un régime sans viande et réduit en graisses peut être considéré comme une base du traitement du diabète.
    ND Barnard et al, A low-fat vegan diet and a conventional diabetes diet in the treatment of type 2 diabetes : A randomized, controlled, 74-wk clinical trial, Am J Clin Nutr,  89 (5) : 1588-1596, 2009.

    La consommation de viandes est un facteur de risque de maladies cardiovasculaires

    Le syndrome métabolique, qui associe plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire : intolérance au glucose, profil de lipides sanguins altéré et hypertension est associé à la fois à la consommation de viande, à des taux circulants élevés de ferritine (un marqueur des réserves en fer), à des marqueurs augmentés de stress oxydatif, facteur de risque cardiovasculaire et de toute maladie dégénérative associé au vieillissement et à des dommages sur le foie.
    Felipe A et al, Serum Ferritin Is Associated with Metabolic Syndrome  and Red Meat Consumption, Oxid Med Cell Longev, 2015, 2015 : 769739

    Une alimentation méditerranéenne pauvre en viandes et riches en végétaux est associée à une réduction

    de 26% du risque d’infarctus
    de 21% d’insuffisance cardiaque
    de 22% d’accident vasculaire cérébral thrombotique
    Tektonidis TG et al, A Mediterranean diet and risk of myocardial infarction, heart failure and stroke : a population-based cohort study, 2015, 243 (1) : 93-98

    L’arrêt de la consommation de viandes devrait même être des axes  du traitement des maladies cardiovasculaires.

    Avec un régime végétarien, une réduction importante des graisses saturées et trans, l’arrêt du tabac, activité physique modérée et stress management pendant un an chez des coronariens, on observe :
    une régression des sténoses des coronaires de 16,5 à 16,9%   contre une progression de 15,5 à 18,5% chez les témoins.
    82% des patients de groupe suivant le programme ont bénéficié d’améliorations mesurables
    Dean Ornish et al, Can lifestyle changes reverse coronary heart disease ?, The Lancet, 1990, 336, 8708, 129-133

    Dans l’étude Life Style Heart Trial, le même programme a entraîné une amélioration du débit sanguin dans le myocarde objectivé par scanner de 300%.
    Gould KL, Ornish D et al, Improved stenosis geometry by quantitative coronary arteriography after vigorous risk factor modification, Am J Cardiol, 1992, 69 (9) : 845-853.
    Gould KL, Ornish D et al, Changes in myocardial perfusion abnormalities by positron emission tomography after long-term, intense risk factor modification, JAMA, 1995, 274 (11): 894-901

    Dans deux études randomisées suivantes les patients ont perdu avec le même programme 12 kg en moyenne sur un an dans l’une, et perdu 6,6% de leur indice de masse corporelle. (Bill Clinton qui a suivi ce programme après un premier infarctus a perdu 10 kg durablement et n’a pas récidivé).

    Le Cardiac Rehabilitation Program de Dean Ornish est maintenant remboursé par l’une des principales assurances de santé aux Etats-Unis, Medicare.

    Une méta-analyse de 5 études comprenant 239 251 personnes dont 9593 sont victimes d’accident vasculaire cérébral  montre une augmentation du risque
    de 10% pour chaque tranche de consommation de 100 g de viandes de toutes sortes par jour,
    de 13% pour la consommation de 100 g de viande rouge par jour
    de 11% pour la consommation de 50 g par jour de viandes ayant subi des retraitements (charcuteries…)
    Chen GC et al, Red and processed meat consumption and risk of stroke : a meta-analysis of prospective cohort studies, Eur J Clin Nutr, 2013, 67 (1) : 91-5 

    La consommation de viandes est un facteur de risque de maladies inflammatoires

    Une méta-analyse identifie comme facteurs de risque de maladies de Crohn et de recto-colite hémorragique, deux pathologies inflammatoires du tube digestif
    des apports élevés en protéines animales : viandes et poissons
    des apports élevés en acides gras oméga 6
    des apports faibles en acides gras oméga 3
    Andersen V et al, Diet and risk of inflammatory bowel disease, Dig Liver Dis, 2012 ; 44 (3) : 185-94 

    Une méta-analyse de 19 études comprenant 1269 cas de maladie de Crohn, 1340 de recto-colite hémorragique et 4000 contrôles, révèle que
    ceux qui consomment plus de viandes et de graisses de tous types voient une augmentation de leur fréquence de pathologies digestives inflammatoires
    alors que ceux qui consomment le plus de légumes, de fruits et de fibres une réduction de ce risque. 
    Hou JK et al, Dietary intake and risk of developing inflammatory bowel disease: a systematic review of the literature, Am J Gastroenterol, 2011,106 (4) : 563-73

    La viande est un des aliments les plus pro-inflammatoires que nous puissions consommer. On mesure après un repas comprenant de la viande une montée post-prandiale (dans les heures qui suivent le repas), une montée des marqueurs inflammatoires, qui ne sont pas redescendus avant la prise du repas suivant, ce qui fait que la plupart des non végétariens sont quotidiennement en état d’inflammation, excepté dans les dernières heures de la nuit.

    Cela est dû non seulement à la présence
    de fer dans la viande (le plus dans la viande rouge, le foie, le boudin, un peu moins dans la viande blanche et le poisson) qui est un violent pro-oxydant, pro-inflammatoire, facteur de croissance de toutes les agents pathogènes connus (virus, bactéries, champignons, parasites…) et des cellules cancéreuses
    de l’acide arachidonique qui est le précurseur de puissants agents d’inflammation, d’allergies, de vasoconstriction et d’agrégation plaquettaire, les prostaglandines
    de la leucine, un acide aminé activateur de la voie mTOR, un chef d’orchestre de l’inflammation
    de germes dont les endotoxines passent dans le sang après chaque ingestion
    mais la consommation de protéines animales (et le manque de végétaux) altère la flore intestinale ; la flore est différente et pro-inflammatoire ;  elle produit moins d’acides organiques protecteurs comme le propionate contre le surpoids et le butyrate contre le cancer du colon ; la flore du mangeur de viandes transforme la carnitine surtout présente dans les viandes et la choline surtout présente dans les œufs en TMAO, une substance qui endommage les parois artérielles

    sur le TMAO :
    https://en.wikipedia.org/wiki/Trimethylamine_N-oxide

    Sur la flore intestinale chez les végétariens :
    Marian Glick-Bauer et al, The Health Advantage of a Vegan Diet : Exploring the Gut Microbiota Connection,Nutrients, 2014,  6 (11) : 4822–4838.

    Or l’inflammation est un des moteurs avec le stress oxydatif auquel il est apparenté et la pollution des corrosions liées au vieillissement, donc à la réduction de l’espérance de vie et à l’apparition plus précoce de la totalité des maladies dont la fréquence augmente avec l’âge, maladies dites « dégénératives » : presbyacousie, cataracte, dégénerescence maculaire – première cause de cécité chez la personne âgée -, arthrose, ostéoporose, déficit immunitaire, auto-immunité, maladies cardio-vasculaires, cancers, déclin cognitif, pathologies d’Alzheimer et de Parkinson…

    Cette inflammation est encore plus intense chez les personnes stressées, en surpoids, en diabète, porteuses d’infections chroniques, etc….
    Et par ailleurs l’altération de la flore du colon et du microbiote qui contient plus de 100 fois plus de gènes que nos propres cellules par l’excès de produits animaux (mais aussi de graisses saturées et de sucres rapides et le manque de fibres et de polyphénols végétaux) est maintenant sans conteste reconnue comme pro-inflammatoire et partie prenante de la plupart des pathologies, du surpoids et diabète à l’autisme.

    La consommation de viandes et les risques de cancers

    Le cancer est fortement lié à tous ses stades (initiation, promotion, invasion, angiogénèse, métastases) à l’inflammation.
    Le fer joue en plus un rôle de facteur de croissance des cellules cancéreuses.
    Le cancer est considéré par certains auteurs comme une maladie « ferrotoxique ».
    Dans la cohorte de Vitamins and Lifestyle (VITAL) de 30 797 femmes ménopausées, agées de 50 à 76 ans et suivies sur une moyenne de 6,7 ans, le risque de cancer du sein est réduit de 60% chez celles qui suivent au moins 5 des 10 recommandations issues de l’étude China Study et promues par les institutions WCRF/AICR (World Cancer Research Fund et American Institute for Cancer Research), dont : contrôler le surpoids, limiter l’alcool, réduire les viandes, privilégier végétaux, pratiquer régulièrement une activité physique.
    Hastert TA et al, Adherence to WCRF/AICR cancer prevention recommendations and risk of postmenopausal breast cancer, Cancer Epidemiol Biomarkers Prev, 2013; 22 (9) : 1498-508
    TC Campbell (The China Study, 2006) constate que l’on trouve le plus faible taux de cancers du sein chez les chinoises de milieu rural consommant beaucoup de végétaux, très peu de viandes, en absence totale de surpoids et ayant des activités physiques quotidiennes intenses.

    Le suivi de 57 841 hommes et femmes de la même cohorte une année de plus (7,7 ans) arrive à la conclusion que la mortalité par tous les cancers est réduite de 61% chez ceux qui suivent au moins 5 recommandations par rapport à ceux qui n’en suivent aucune et que pour l’adoption de chacune des recommandations, la mortalité par cancers baisse de 10%.
    Hastert TA et al, Adherence to the WCRF/AICR cancer prevention recommendations and cancer-specific mortality: results from the Vitamins and Lifestyle (VITAL) Study, Cancer Causes Control, 2014, 25 (5) : 541-52 

    La vaste étude européenne EPIC comprenant 347 237 hommes et femmes de 25 à 70 ans montre que le suivi de 5 recommandations réduit de 37% le risque de cancers colorectaux
    Aleksandrova K et al, Combined impact of healthy lifestyle factors on colorectal cancer: a large European cohort study, BMC Med, 2014 Oct 10; 12 (1):168
    Dans l’étude EPIC qui a porté sur 478 040 hommes et femmes recrutés dans 10 pays européens différents, le risque de cancer colorectal est un tiers plus élevé chez les sujets qui consomment régulièrement deux portions ou plus de viande rouge et charcuterie par jour par rapport à ceux qui mangent une portion ou moins par semaine.

    www.inserm.fr/content/.../9964/.../cp_clavel-chapelon_13_06_2005.pdf

    Le CIRC a publié un graphe qui montre que le risque de cancer colo-rectal est, selon les pays, en relation directe avec les quantités de viande rouge consommée, les « champions du monde » étant l’Australie, les Pays Bas, le Canada, l’Italie, l’Allemagne, le Japon, le Royaume Uni, la France, les Etats-Unis et l’Argentine, les pays où il est le moins fréquent s’échelonnant de la Chine aux Indes.

    Globocan, 2008, www.dep.iarc.fr

    Le Japon qui consommait très peu de viande a connu une explosion de sa consommation de 700% depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, qui s’est associée à une montée de 400% de la fréquence des cancers colorectaux.
    Kuriki K et al, The increasing incidence of colorectal cancer and the preventive strategy in Japan, Asian Pacific J Cancer Prev, 2000, 7, 495-501
    Dans l’étude EPIC, une consommation élevée de viande rouge est associée chez les femmes à une augmentation de 36% du risque de cancer du rein, de 78% pour les viandes transformées.
    Pas de relations significatives n’apparaissent ni chez les hommes, ni en relation avec les consommations de poissons ou de volailles.
    Le brilliant chercheur français Denis Corpet qui a confirmé le caractère carcinogène de la consommation de viande rouge sur les cancers colorectaux, est financé par les industriels de l’élevage pour trouver des solutions qui permettraient de continuer à en consommer en réduisant ce risque.
    Comme il estime que la presence de fer est un des facteurs majeurs, il travaille à des modifications de l’élevage qui arriveraient à des viandes pauvres en fer.
    Il a aussi testé l’adjonction de protecteurs comme le calcium et la vitamine E qui modulent les effets carcinogènes.
    Corpet DE, Red meat and colon cancer : should we become vegetarians, or can we make meat safer ?, Meat Sci, 2011 ; 89 (3) : 310-6 
    Mon commentaire : malheureusement le problème est que nombre d’autres facteurs sont carcinogènes dans la viande : l’excès d’acides aminés, la richesse en leucine et en méthionine, l’acide arachidonique, les polluants, les amines hétérocycliques issus de la cuisson, le retentissement sur le microbiote et même de nombreux micro-organismes, dont certains virus oncogènes…

    Chez les femmes pour chaque 50 g par jour de consommation de viande rouge le risque de cancer du rein augmente  de 36%, de 72% pour tous les 50 g de  “processed meat” (charcuteries, viandes industrielles) en plus.
    On ne note pas d’effet ni des volailles, ni des poissons.
    Rohrmann S et al, Meat and fish consumption and the risk of renal cell carcinoma in the European prospective investigation into cancer and nutrition, Int J Cancer, 2015 Mar 1 ; 136 (5) : E423-31 

    Sur 461,550 participants l’étude EPIC observe que ceux qui suivent au moins trois recommandations (pas de tabac, consommation d’alcool modérée et modèle méditerranéen incluant beaucoup de végétaux et peu de viandes) subissent 51% de cancers de l’estomac en moins, 77% pour ceux localisés au niveau du cardia.
    L’Etude EPIC trouve un effet protecteur d’un apport élevé en végétaux et réduit en produits carnés sur presque tous les cancers, sauf celui de la vessie qui n’est pas significatif.
    Mais dans un autre étude d’EPIC sur 469 339 hommes et femmes, il apparaît après plus de 11 ans de suivi qu’une augmentation pour chaque 3% de l’apport énergétique sous forme de produits carnés le risque de cancer de la vessie augmente de 15%, alors que pour une augmentation de 2%        de l’apport énergétique sous forme de végétaux, le risque diminue de 23%.
    Allen NE et al, Macronutrient intake and risk of urothelial cell carcinoma in the European prospective investigation into cancer and nutrition, Int J Cancer, 2013,132 (3) : 635-44

    Une consommation élevée de viandes rouges augmente de 159% le risque de maladie chronique du foie (les graisses saturées de 250%) et de 74% celui de cancer du foie.
    Neal D Freedman et al, Association of Meat and Fat Intake With Liver Disease and Hepatocellular Carcinoma in the NIH-AARP Cohort, J Natl Cancer Inst, 2010, 102 (17) : 1354–1365.
    Une méta-analyse synthétisant les résultats de  22 études cas contrôles incluant 14 520 cas et 22 737 témoins conclut que la quantité de viandes rouges consommée augmente proportionnellement le risque de cancers de la tête et du cou alors que celle de végétaux le réduit.
    Shu-Chun Chuang et al, Diet and the Risk of Head and Neck Cancer : a Pooled Analysis in the INHANCE Consortium, Cancer Causes Control, 2012,  23 (1) : 69–88.

    La consommation de viandes augmente la mortalité

    Dans les deux vastes cohortes d’infirmières et de médecins suivis par l’Ecole de Santé Publique de Harvard, de 37 698 hommes (Health Professionals Follow-up Study) suivis de 1986 à 2008 et  83 644 femmes (Nurses' Health Study) suivies de 1980  à 2008, on constate pour chaque portion de viande rouge consommée par jour augmentation de 13% de la mortalité de toutes causes, 20% pour chaque portion de viande retraitée (« processed meat ») ; 8 et 21% pour la mortalité cardiovasculaire, 10 et 16% pour la mortalité par cancers
    An Pan et al, Red Meat Consumption and Mortality : Results from Two Prospective Cohort Studies, Arch Intern Med, 2012,  9, 172 (7) : 555–563.
    La consommation de viande augmente les cancers, les maladies cardiovasculaires et la mortalité dans la plus vaste étude nutritionnelle jamais menée sur plus d’un demi millions de personnes
    R Sinha et al, Meat intake and mortality : a prospective study of over half a million people, Arch Intern Med, 2009, 169 (6) : 562–571.
    Une méta-analyse récente (synthèse des études publiées), confirme que la consommation de viande rouge et des charcuteries augmente significativement la mortalité de toutes causes.
    Wang X et al, Red and processed meat consumption and mortality : dose-response meta-analysis of prospective cohort studies, Public Health Nutr, 2015 Jul, 1-13

    Mais de manière surprenante tous les corps de métier associés aux élevages d’animaux et à la manipulation manuelle de viandes connaissent des fréquences de maladies auto-immunes et de cancers variés nettement plus élevés, ce qui est attribué à des réactions immunitaires croisées entre les protéines d’agents infectieux et celles de certains des tissus humains et à la présence de virus oncogènes (capables de s’insérer dans l’ADN des gènes et de dérègler le contrôle de la croissance des cellules) dans les viandes.
    Johnson ES, Yau LC, Zhou Y, Singh KP, Ndetan H. Mortality in the Baltimore union poultry cohort: non-malignant diseases. Int Arch Occup Environ Health. 2010 Jun;83(5):543-52.
    Kutlu A, Oztürk S, Taşkapan O, Onem Y, Kiralp MZ, Ozçakar L. Meat-induced joint attacks, or meat attacks the joint: rheumatism versus allergy. Nutr Clin Pract. 2010 Feb;25(1):90-1.
    On trouve le résultat inverse pour la consommation de végétaux.
    Wang X et al, Fruit and vegetable consumption and mortality from all causes, cardiovascular disease, and cancer : systematic review and dose-response meta-analysis of prospective cohort studies, BMJ, 2014, 349: g4490

    La réduction des protéines animales (viandes, produits laitiers, poissons et œufs) fait baisser à la fois mTOR et IGF1 deux voies majeures de l’inflammation, de l’accélération du vieillissement et de la promotion des cancers.
    Une étude montre qu’une réduction de seulement 20 g par jour de charcuteries ou de viandes ayant subi des traitements de l’industrie agroalimentaire réduit de 3% la mortalité totale, alors que la consommation d’une pomme par jour allonge en moyenne l’espérance de vie de 19 mois.
    Ceux qui ne consomment pas de fruits ou légumes perdent 3 ans d’espérance de vie, seulement ½ portion 2 ans, 1 portion 1 an et demi, 2 portions 7 mois.
    Les chercheurs montrent qu’à Taïwan, dépenser 50 centimes par jour en fruits/légumes réduit la mortalité de 10%.

    Si l’on fait la synthèse des publications scientifiques sur le sujet, les catégories de végétaux associés aux plus grandes réductions de pathologies et/ou aux plus grands gains de longévité sont

    les légumes secs
    les légumes verts
    les crucifères
    le soja
    les céréales semi-complètes
    les alliacés
    l’huile d’olive
    les oléagineux
    les champignons
    les algues
    les aromates (curcuma en tête) et herbes
    les fruits et baies rouges ou noires
    le thé vert
    le chocolat noir.

    La consommation de viandes augmente les risques de dépression

    De très nombreuses études constatent que la consommation de viande et de produits laitiers augmentent le risque de dépression alors que celle de fruits et légumes, les alimentations méditerranéenne ou japonaise le réduisent.
    M E Payne et al, Fruit, vegetable, and antioxidant intakes are lower in older adults with depression, J Acad Nutr Diet, 2012, 112 (12) : 2022-7.
    G Scapagnini  et al,  Antioxidants as antidepressants : fact or fiction ? Antioxidants as antidepressants: fact or fiction ? CNS Drugs,  2012, 26 (6) : 477-90.
    J S Lai et al, A systematic review and meta-analysis of dietary patterns and depression in community-dwelling adults, Am J Clin Nutr, 2014, 99 (1) : 181-97.
    A Nanri  et al, Dietary patterns and depressive symptoms among Japanese men and women,  Eur J Clin Nutr, 2010, 64 (8) : 832-9.
    A Sanchez-Villegas et al, Association of the Mediterranean dietary pattern with the incidence of depression : the Seguimiento Universidad de Navarra/University of Navarra follow-up (SUN) cohort, Arch Gen Psychiatry, 66 (10) : 1090-8.

    Consommation de viandes et risque de maladie d’Alzheimer

    Les consommateurs de viandes font 2 à 3 fois plus de maladies d’Alzheimer. Cela s’explique majoritairement par leur effet  puissamment pro-inflammatoire dû au fer, à l’acide arachidonique, à la leucine.

      www.youtube.com/watch?v=GyiacuB6p50

    Les élévages intensifs sont un facteur majeur de risques infectieux incontrôlables

    On trouve de nombreux germes pathogènes et chez les animaux vivants et dans les viandes : volailles, porc en particulier…
    L’origine des pathologies infectieuses chez l’homme est associée début de l’élevage et de l’urbanisation, ce sont pour la plupart des zoonoses (infections passées de l’animal à l’homme – cela a été encore le cas du SIDA et du virus Ebola).
    Historiquement le rhume provient des chevaux, les grippes des canards, la rougeole du mouton, la typhoïde du poulet, la variole provient du chameau, la lèpre du buffle.

    Aujourd’hui les préoccupations principales sont :
    les grippes aviaires et porcines
    les antiobiorésistances induites par l’usage abusif d’antibiotiques dans les élevages
    la présence d’un nombre considérable d’agents pathogènes dans les viandes consommées.

    Comme l’explique Norbert Gualde, professeur d’Immunologie à Bordeaux[1], il y a deux grandes raisons aux épidémies : l’élevage d’animaux qui représentent un réservoir de microbes et les déplacements qui leur permettent de se disséminer. Or notre époque a vu se développer les deux d’une façon explosive.
    Les élevages de tous ordres ont augmenté de manière exponentielle et surtout les élevages intensifs, on devrait plutôt dire les « camps de concentration » pour animaux. Dans ces conditions de vie dans des espaces très restreints, les risques de contagion sont considérablement amplifiés.
    On recense jusqu’à 10 millions de poulets dans certaines usines chinoises.
    Et aussi du fait qu’elles sont terriblement stressantes, une source de faiblesse immunitaire, à laquelle s’ajoute la qualité déplorable de l’alimentation de ces animaux. Ils reçoivent des mélanges de farines préfabriquées industriellement, mélanges chimiques dont la plupart des agriculteurs ignorent eux-mêmes la composition exacte. Du coup il devient indispensable d’utiliser des antibiotiques pour éviter le pire (en France 1000 tonnes par an sont incorporés chaque année dans l’alimentation des animaux ce à quoi s’ajoutent les antibiotiques administrés larga manu par les vétérinaires qui sont à la fois les prescripteurs et les vendeurs d’antibiotiques, une aberration).

    Ces animaux, en particulier les porcs et les volailles, sont des réservoirs de bactéries comme la salmonelle, le campylobacter, mais aussi de virus qui se moquent complètement des antibiotiques. La grippe aviaire et la grippe A viennent de virus hébergés par les volailles ou les porcs, qui peuvent passer de l’un à l’autre, muter et devenir transmissibles à l’homme.

    Selon un rapport de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) de 2008, environ 75 % des carcasses de poulets sont contaminés par des campylobacters (dans l’Union européenne, la Suisse et la Norvège).

    Publié le 8 mars 2012 le rapport annuel sur les zoonoses en Europe de l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et du Centre européen pour la prévention et le contrôle des maladies (ECDC) révèle une augmentation des cas de campylobactérioses (de 7% par rapport à 2009, en augmentation pour la cinquième année consécutive).

    http://agriculture.gouv.fr/le-campylobacter-la-bacterie-du-poulet

    Les poulets ont été montrés héberger de plus en plus d’Escherischia coli antibiorésistant. Des techniques génétiques ont permis d’objectiver qu’ils peuvent migrer du tube digestif et provoquer des cystites, qu’on n’avait jamais soupçonné pouvoir être des zoonoses.
    La simple manipulation d’un poulet sans le consommer peut mener à ce type de zoonose.
    Aucune mesure hygiénique n’a été montrée capable d’éviter la contamination.
    CR Bergeron et al,  Chicken as reservoir for extraintestinal pathogenic Escherichia coli in humans, Canada Emerging Infect Dis, 2012, 18 (3): 415 - 421
    L Jakobsen et al,  Is Escherichia coli urinary tract infection a zoonosis? Proof of direct link with production animals and meat, Eur J Clin Microbiol Infect Dis, 2012, 31 (6) : 1121 - 1129
    AR Manges et al, Food-borne origins of Escherichia coli causing extraintestinal infections, Clin Infect Dis, 2012, 55 (5) : 712 - 719
    TA Cogan et al, The effectiveness of hygiene procedures for prevention of cross-contamination from chicken carcases in the domestic kitchen, Lett Appl Microbiol, 1999, 29 (5): 354 - 358

    « La résistance aux antibiotiques chez certaines espèces, notamment chez les entérobactéries, a augmenté :
    -  la résistance aux fluoroquinolones chez Campylobacter croît de façon constante depuis 2004 (65% en 2008 vs 42% en 2004 chez C. coli et 42% vs 25% chez C. jejunii) ;
    -  la résistance aux céphalosporines de 3ème génération (C3G) chez Escherichia coli progresse constamment depuis 2005 (7% en 2009 vs 1% en 2005) ;
    -  cette même tendance est observée pour Klebsiella Pneumoniae (19% en 2009 versus 4% en 2005) ;
    -  la résistance à la ciprofloxacine chez le gonocoque est de 2006 à 2008 stabilisée autour de 40%.

    En second lieu, de nouvelles résistances bactériennes aux antibiotiques ont également émergé :
    - entérobactéries productrices de carbapénèmases (1 à 3 épisodes signalés par an de 2004 à 2008, 6 en 2009 et 26 en 2010 et 27 sur les six premiers mois de 2011) ;
    - Acinetobacter baumannii résistant à l’imipénème (22 signalements reçus par l’InVS en 2004 contre 50 en 2009 et 79 en 2010).
    Ainsi, la question de la résistance bactérienne aux antibiotiques s’impose aujourd’hui comme une question de santé publique majeure »
    Plan National d’Alerte sur les Antibiotiques 2011-2016, www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/plan_antibiotiques_2011-2016_DEFINITIF.pdf

    Jean Paul Curtay, Immuno-nutrition, guide familial de résistance  aux infections, Anne Carrière

    Mais on décrit de plus en plus de nouvelles zoonoses.
    Par exemple clostridium difficile dans le porc.
    M M Squire et al,  Clostridium difficile infection in humans and piglets: a 'One Health' opportunity, Curr Top Microbiol Immunol, 2013, 365 : 299-314.
    A Rodriguez-Palacios et al, Clostridium difficile in foods and animals: history and measures to reduce exposure, Anim Health Res Rev, 2013, 14 (1) : 11-29.
    M Rupnik et al,  Clostridium difficile : its potential as a source of foodborne disease, Adv Food Nutr Res, 2010;60:53-66.
    Par exemple le papillomavirus hébergé par le porc, peut être cause d’infections du col utérin et de cancers du col. L’incidence de ces pathologies est très réduite dans les pays non consommateurs de porc.
    Schneider A et al, Pork intake and human papillomavirus-related disease, Nutr Cancer, 1990, 13 (4) : 209-11
    De 33% jusqu’à plus de 70% des bouchers selon les postes sont porteurs sur les mains de verrues dûes à des virus présents dans la viande.
    Wall LM et al, Virus warts in meat handlers, Contact Dermatitis, 1981, 7 (5) : 259-67
    Les virus contenus dans la viande peuvent fortement contribuer à la forte élévation du risque de myélome multiple et de leucémies chez les consommateurs de viandes. Ceux ci font 4 fois plus de myélomes multiples que les végétariens.
    Les chercheurs ont pu établir que manger deux poitrines de poulet augmente autant le risque de myélome que de fumer 10 cigarettes.
    Xiaomei Ma et al, Diet, Lifestyle, and Acute Myeloid Leukemia in the NIH–AARP Cohort, Am J Epidemiol, 2010, 171 (3) : 312–322.
    Key TJ et al, Cancer incidence in British vegetarians, Br J Cancer, 2009 101 (1): 192-7
    Plus de la moitié des toxi-infections alimentaires sont des salmonelloses, qui elles sont en régression en France.
    Les aliments les plus fréquemment impliqués sont les œufs et les produits à base d’œufs crus ou ayant subi un traitement thermique insuffisant, les produits laitiers (lait cru ou faiblement thermisé), ainsi que les viandes peu cuites (bovins, porcs et volailles).
    www.anses.fr/fr/content/salmonellose

    Le Ministère de la Santé en France vient de reconnaître devant le bilan de 13 000 décès dans l’année dûs à des bactéries antiobiorésistantes qui sortent du simple cadre des soins intensifs et même de l’hôpital, l’urgence de réduire de 25% l’usage des antibiotiques.
    Mais sans des changements radicaux dans les modes d’élevage une telle mesure restera très insuffisante.
    Les infectiologues du monde entier réunis à Boston ont exprimé, entre la montée des virus mutants et des bactéries antibiorésistantes leur crainte de l’apparition de nouvelles pestes.
    Et l’Association Médicale Américaine a demandé un moratoire sur l’ouverture du nouvelles « farm factories » (usines fermières).

    Autres raisons de se calmer sur les protéines animales

    S’ajoute à tout cela que les viandes que les viandes contiennent beaucoup plus de polluants, en particulier liposolubles, dont les perturbateurs endocriniens que les végétaux, y compris les retardateurs de flamme et que nous les enrichissons encore par des modes de cuisson inappropriés ou trop agressifs sur le plan thermique qui produisent en particulier des amines hétérocycliques (dans le bruni ou noirci des viandes et des poissons) de puissants carcinogènes, le pire étant le barbecue mal fait qui apporte en plus du benzopyrène.

    Plusieurs médicaments contenant de l’arsenic sont donnés aux poulets comme anti-parasitaires et pour leur donner une belle couleur rosée.
    Ils ont été interdits tout récemment, mais ils persistent dans le sols.
    On trouve de ce fait de l’arsenic dans l’eau, dans le riz cultivé avec l’eau polluée, dans les coquillages et poissons qui concentrent les produits rejetés dans la mer.
    Une étude de la Johns Hopkins School of Public Health dans des blancs de poulet venant de tous les Etats Unis trouve que 70% d’entre eux étaient contaminés par de l’arsenic considéré comme carcinogène et toxique dès les doses les plus faibles. Les foies de poulets étaient encore plus contaminés.
    Une étude chez 364 enfants américains trouve des niveaux d’arsenic,  de diéldrine, un pesticide interdit, de DDE un métabolite du DDT, lui aussi interdit, et des dioxines, tous des perturbateurs endocriniens carcinogènes dépassant les normes admissibles chez 100% d’entre eux, d’un facteur 100 pour arsenic et dioxines.
    Pour les petits enfants la source #1 d’arsenic était le poulet, mais le thon pour leurs parents, la source #1 de plomb, les produits laitiers et pour le mercure les coquillages et poissons, la source #1 des pesticides interdits et dioxines les produits laitiers.
    R Vogt et al, Cancer and non-cancer health effects from food contaminant exposures for children and adults in California : a risk assessment, Environ Health, 2012, 11 : 83.

    L’exposition des enfants est déjà prénatale via l’alimentation de leurs mères, surtout cette fois les poissons, quand elles les portent.
    S B.Stolevik et al, Prenatal exposure to polychlorinated biphenyls and dioxins from the maternal diet may be associated with immunosuppressive effects that persist into early childhood, Food Chem Toxicol, 2013, 51 : 165 – 172.

    Puis la contamination s’aggrave avec le lait maternel toujours pollué par l’alimentation de la mère allaitante.
    Bjermo H et al, Fish intake and breastfeeding time are associated with serum concentrations of organochlorines in a Swedish population, Environ Int, 2013 Jan;51:88-96.

    Puis le relais est pris par l’alimentation de l’enfant.

    Ces toxiques sont
    immunodépresseurs
    facteurs d’allergies
    de surpoids et de diabète
    d’altérations du développement cérébral et responsables de perte de plusieurs point de QI et rendent plus précoces les déclins cognitifs chez la personne âgée altèrent la différenciation et le comportement sexuel ainsi que la fertilité
    rendent la puberté plus précoce, en particulier chez les filles, ce qui augmente les risques de cancers hormono-dépendants
    carcinogènes.

    Les perturbateurs endocriniens, aussi présents dans les poissons surtout gras, les coquillages, les œufs et les produits laitiers, dans les produits alimentaires contenant des graisses et emballés dans du plastique,mais aussi dans des produits cosmétiques, des jouets pour enfants, etc…

    Qu’est-ce donc qu’un perturbateur endocrinien ?

    C’est une molécule chimique, aussi appelée xéno-hormone, qui peut modifier
    - la production, la diffusion ou l’élimination des hormones naturelles
    - et/ou son action en agissant à leur place
    * soit de manière positive (effet agoniste),              
    * soit de manière négative (antagoniste) sur leurs récepteurs.
    Cela en fait par exemple des oestrogènes-like capables de mimer les effets des oestrogènes.
    C’est ce qui explique qu’ils peuvent modifier l’identité sexuelle d’un bébé in utero, entraîner des malformations génitales, des perturbations psycho-comportementales, de l’infertilité et des cancers hormono-dépendants….

    L’exposition aux perturbateurs endocriniens est un facteur de
    fausses couches
    pathologies du déroulement de la grossesse
    malformations, surtout génitales et de troubles de la différenciation sexuelle
    vulnérabilité aux infections
    risques augmentés d’allergies et d’intolérances alimentaires
    augmentation de risques de surpoids et de diabète
    retards de développement du fœtus, y compris cérébral
    baisse de QI
    augmentation des risques d’hyperactivité et d’autisme
    d’infertilité.

    A ce propos :
    Une étude parue en décembre 2012  illustre le lien entre perturbateurs endocriniens sur la fertilité.
    Cette étude et menée sur plus de 26 600 hommes a montré un déclin significatif de la concentration en spermatozoïdes du sperme et de sa qualité entre 1989 et 2005 en France.
    Les résultats de cette étude ont révélé qu’en 17 ans, la concentration du sperme (millions de spermatozoïdes par millilitre de sperme) a diminué de 32,2 % et de manière continue, soit de 1,9 % par an.
    Ainsi, pour un homme de 35 ans, le nombre de spermatozoïdes est passé de 73,6 millions/ml à 49,9 millions/ml en moyenne.
    A ce rythme là - qui s’accélère, puisque pendant les 70 ans précédents, les pertes n’étaient que de 1% par an -, que restera-t-il de la capacité humaine à engendrer des descendants à la fin de ce siècle ??
    De plus, les spermatozoïdes survivants sont pour un tiers malformés puisque l'étude a montré une réduction de 33,4 % de la proportion des spermatozoïdes de forme normale en 17 ans.
    Par ailleurs les perturbateurs endocriniens figurent maintenant parmi les 10 premiers facteurs de risque de surpoids et de diabète.

    Ils sont une cause majeure de puberté précoce, ce qui allonge la durée d’exposition aux oestrogènes et l’augmentation des pathologies qui en découlent :syndrome prémenstruel
    fibromes
    dysplasies du col utérin
    endométriose
    cancers du sein, du col, des ovaires, de l’endomètre.

    Mais ils augmentent aussi les risques de
    cancer de la prostate
    du foie
    les leucémies.

    Pour en savoir plus :
    Théo Colborn, L’homme en voie de disparition, 1998
    Perturbateurs endocriniens et risques de cancers, INSERM, 2008
    André Cicolella, Toxique Planète. Le Scandale invisible des maladies chroniques, Éditions du Seuil, 2013
    Les perturbateurs endocriniens : un enjeu de santé publique pour le XXIème siècle 
    www.appanpc.fr/_docs/7/fckeditor/file/Revues/AirPur/Airpur_79_Duval.pdf

    Les facteurs environnementaux dans l’émergence de l’autisme http://www.autisme.qc.ca/tsa/recherche/etiologie/les-facteurs-environnementaux.html.
    Revue des études sur les relations entre alimentation,pollution et risques d’autisme :
    Kristen Lyall et al, Maternal lifestyle and environmental risk factors for autism spectrum disorders, Int J Epidemiol, 2014 Apr, 43 (2) : 443–464
    Synthèse scientifique sur les effets des perturbateurs endocriniens chez le fœtus et le nouveau-né

    Le rapport EXPPERT (Générations Futures) http://www.generations-futures.fr/2011generations/wp-content/uploads/2014/04/rapport_exppert_3.pdf
     Article de Florence Williams sur les retentissements des perturbateurs endocriniens sur le cerveau des enfants
    Au total, la plupart des agences de santé recommandent de réduire la consommation de viandes et de graisses saturées et d’augmenter  la consommation de végétaux variés. Et les députés français ont voté l’interdiction des phtalates et bisphénols A dans les emballages alimentaires.
    Malheureusement toute une kyrielle d’autres perturbateurs restent présents dans les plastiques et la seule solution valide est l’interdiction totale du plastique pour tout aliment contenant des graisses.
    L’Association Médicale Américaine (AMA) considère que l’une  des choses qui peut le plus amener de santé globale dans le monde est la réduction de la consommation de viandes.
    BM Popkin, Reducing meat consumption has multiple benefits for the world's health, Archives of internal medicine, 169 (6) : 543, 2009
    Le World Cancer Research Fund  a pris pour modèle de conseil alimentaire la China Study dans laquelle une alimentation presque exclusivement centrée sur les végétaux entraîne des réductions drastiques de la plupart des maladies cardiovasculaires et des cancers  et Kaiser, la principale caisse d’assurance maladie américaines qui a 9 millions adhérents et qui emploie 15 000 médecins déconseille la consommation de viandes, produits laitiers et œufs.

    A qui une consommation de viande peut être bénéfique ?

    Le bilan est au total sans appel.
    Quelle est la quantité de viande à partir de laquelle des effets négatifs sur la santé se manifestent au long terme ? Entre une et deux fois par mois.
    Mais il reste que – au-delà du spécisme et de l’anti-spécisme et du fait de s’autoriser pour des raisons affectives ou philosophiques ou pas de consommer des animaux -, des raisons hédonistes et nutritionnelles peuvent justifier une consommation de viandes.
    Hédoniste, c’est se faire plaisir pour une occasion festive, donc exceptionnelle. Il s’agirait alors de classer la viande dans les aliments-plaisirs, les aliments-santé étant là pour être consommés chaque jour en quantités, les aliments-plaisirs, pour être dégustés en petite quantité, une fois par mois par exemple, la rareté participant d’ailleurs du plaisir.
    Ces viandes pour le plaisir seraient d’autant plus appréciées qu’elles sont de bonne qualité (quand on en mange beaucoup moins on peut se payer la meilleure qualité) et donc d’animaux non pas élevés stressés et immunodéprimés dans des camps de concentration, mais dans un milieu naturel le plus ouvert et libre possible, avec la meilleure alimentation possible.
    Il en  existe déjà, fort heureusement.
    Cette tendance doit progressivement et finalement totalement remplacer les intolérables – et pour la santé et pour l’environnement et pour l’éthique – usines à viandes.
    Par ailleurs, au lieu de faire des millions de tonnes des mêmes volailles, porcs, bœufs… les éleveurs auraient intérêt à diversifier dans ce sens  de la qualité et de la variété, les espèces qui sont incomparablement diverses déjà dans les catégories citées et de multiplier les petits élevages de gibier, d’animaux exotiques comme quelques pionniers ont commencé à le faire avec les buffles, les autruches, les kangourous, les bisons, etc…
    Les raisons nutritionnelles c’est non pas que – comme on nous l’a asséné pendant des décennies -, la viande, le poisson, l’œuf soient nécessaires comme protéine complète, car il y a des protéines végétales complètes comme le soja, le quinoa, l’amarante… et sinon il suffit d’associer un légume sec (cela va être l’Année Mondiale des Légumes Secs, lancée par l’ONU en 2016) avec une céréale – mieux semi-complète, encore mieux sans gluten, pour obtenir une protéine complète.

    Qu’est-ce qu’une protéine complète ? Nous utilisons pour notre fonctionnement quelques 20 acides aminés que nous fabriquons nous-mêmes pour la plupart, sauf 9 appelés acides aminés essentiels et dont nous dépendons comme des vitamines et des minéraux.
    Or, une variété de végétaux suffit donc largement à apporter tous ces acides aminés essentiels, comme en témoigne des animaux herbivores aussi forts que le cheval, le taureau, le gorille ou l’éléphant ou de plus en plus d’athlètes de très haut niveau végétariens ou même végétaliens
    (qui ne consomment pas non plus de produits laitiers ni d’œufs).
    Par contre s’il y a du zinc et du fer dans les végétaux, ils ont tendance à être très mal absorbés (très peu « biodisponibles »).
    Or, manquer de ces minéraux a des effets négatifs sur la santé, ils sont nécessaires par exemple pour la croissance, les défenses anti-infectieuses, le fonctionnement cérébral.
    Et ils sont d’autant plus importants pendant les périodes de fort anabolisme, quand les élaborations de nouveaux tissus sont intenses, comme pendant la grossesse pour produire les tissus du bébé, pendant les quelques années de croissance rapide du petit enfant, et pendant la poussée de croissance de l’adolescent.
    C’est aussi un problème pour la femme qui a des règles abondantes et qui peut être déficiente ou carencée en fer ou même anémiée.
    Le zinc pourrait être apporté en complément chez la personne végétarienne ou ayant des consommations faibles en viandes.
    Pour le fer c’est plus délicat car le fer complémentaire est agressif (pro-oxydant et pro-inflammatoire). Il existent des sels de ce minéral particulièrement mal absorbé (et cela s’aggrave en plus avec l’âge - plus la personne est âgée, moins elle absorbe bien le zinc - ce qui favorise les pertes de muscle, d’os, en fait de tous les tissus, y compris le cerveau !, les dépressions immunitaires, l’accélération du vieillissement).
    Les études faites avec des isotopes radioactifs nous ont appris que c’est le citrat

    Lire la suite

  • Accueillir le changement dans la joie

    Vous voilà arrivés aux huit dernières années de la grande tranformation, et vous commencez à grimper la courbe exponentielle de la montée des énergies, et par conséquent de la pression.

    Votre aura sera de plus en plus palpable. Votre corps énergétique deviendra une peau extérieure palpitante et sensible qui vous sera aussi réelle que votre corps l’est actuellement. Au départ, que sentirez-vous le plus intensément ? Les parties défectueuses ! Les dommages, les bagages et les blocages énergétiques que vous portez deviendront un problème. En effet, les médecins ne sauront que faire avec ce qu’ils ne peuvent ni voir, ni comprendre, ni mesurer.

    Vous commencerez également à sentir l’épuisement énergétique de votre corps physique, requis pour toutes vos activités. Ainsi, vous sentirez les limites de votre temps, de votre énergie et de votre argent, et si vous travaillez au-delà de ces dimites, vous deviendrez physiquement malade ! Autrement dit, imaginez ces nouvelles énergies montantes comme une grande passoire dans laquelle vous entrez et que vous essayez de traverser en poussant. Tout ce qui peut passer à travers, ce sont les aspects de vous dont l’énergie est la plus élevée. Les parties dont l’énergie est la plus faible, les blocages de vos différents corps, seront coincés et par le fait même vous retiendront. Votre véhicule, et toutes ses couches, doit être suffisamment purifié pour traverser la passoire.

    Pendant la transition, vous demeurerez dans votre corps, mais ce corps et les expériences que vous ferez prendront de l’expansion. Alors vous continuerez à vous préoccuper de votre survie, mais vous aurez également un besoin de moins en moins grand de choses pour être heureux. Vous renouvellerez votre appréciation du silence ou de la musique, plutôt que le murmure continuel du téléviseur et de la radio. Vous serez plus à l’aise dans des fibres naturelles et des vêtements amples, plutôt qu’en suivant la mode. Des objets tridimensionnels deviendront de moins en moins importants, car votre identification viendra d’une validation intérieure plutôt que des biens extérieurs et de l’apparence.

    La beauté et la grâce intérieures rayonneront, vous verrez !

    Pour accéder à l’ascension, c’est-à-dire avoir la pleine maîtrise de votre être, deux éléments sont requis:

    Rien, ni personne, ne doit avoir de pouvoir sur vous.
    Vous devez atteindre un état de bonté, afin que votre capacité de manifester ne crée rien de négatif. Vous devez avoir le contrôle total de vos pensées et de vos émotions afin de pouvoir maîtriser votre capacité de manifester en alignement avec la conscience divine.
    Apprenez à vous détacher des drames que vous n’avez plus besoin de jouer. Lorsque vous changerez votre façon de jouer le jeu de la vie, tous les autres joueurs autour de vous seront obligés de suivre.

    Vous êtes énergétiquement responsables de votre propre perspective.

    Si vous commencez à voir le drame qui vous entoure, les rôles archétypaux que les gens jouent inconsciemment, vous n’en aurez plus besoin. Une fois ces leçons reconnues, vous les dépasserez. L’essentiel consiste à sortir du jeu avec grâce, à prendre un peu de recul, à observer, et à ne pas laisser votre mental et vos énotions intervenir. Attendez dans votre perspective spirituelle (supérieure), jusqu’à ce que vous puissiez répondre de manièe appropriée, au lieu de réagir inconsciemment.

    La différence ?

    Une dizaine de secondes pour respirer, détendre votre corps et attendre.

    Voici la clé du détachement : si vous n’avez rien à gagner ni à perdre de cette situation, alors celle-ci et les gens qui y sont engagés n’ont aucune influence sur vous. Vous avez plein pouvoir et ne pouvez être déstabilisés.

    Avez-vous dégagé toutes les peurs de vos systèmes, de vos pensées, de vos émotions, de votre corps, de votre foi ?

    Pouvez-vous aimer toutes les formes de vie ? Et pardonner énergétiquement à ceux qui vous ont offensés, que vous puissiez ou non le leur laisser savoir ? Vous êtes-vous pardonné toutes vos erreurs ? Pouvez-vous le croire, dans votre cœur, quand vous affirmez : "JE SUIS PARFAIT COMME JE SUIS" ?

    Répétez cette phrase comme un mantra, et voyez si elle vous convient. Répétez-la jusqu’à y croire, puis poursuivez ainsi, encore et encore. C’est votre nouvelle étiquette. Plus vous croyez chacun en vous-même, plus les gens de votre entourage changeront et se mettront aussi à croire en vous. Même si vous ne pouvez physiquement modifier votre situation,vous pouvez transformer votre point de vue par rapport à cela et voir toutes les règles changer radicalement en votre faveur.

    Rappelez-vous ceci : Les gens ne peuvent vous blesser que dans la mesure où vous le leur permettez.

    C’est simple : dès que vous mettez vos peurs de côté et considérez votre vie impartialement, vous gardez ce qui est bon et modifiez ce qui est mauvais. Ou vous changez votre perspective quant à ce qui est mauvais, et trouvez ce qui es bon. Votre emploi est peut-être ennuyeux, mais votre seule présence en ce lieu, parmi ces gens, peut sans doute ancrer la lumière.

    Éveillez-vous. Regardez tout avec des yeux neufs et l’émerveillement de la vie éternelle, étalée en une si belle gamme d’innombrables notes. Si vous regardez chaque occasion dans une perspective de sérénité plutôt que de colère, de gentillesse plutôt que de haine, les leçons deviendront des cadeaux.

    Vous commencez chaque journée par un moment d’introspection, cela intensifiera votre expérience de tout ce qui vous entoure.

    C’EST CELA L’ASCENSION ! C’est tamiser toutes les pensées et réactions et ne choisir que celles qui vibrent avec amour, jusqu’à ce que cela devienne une habitude, jusqu’à ce que les mauvaises pensées ne figurent même plus dans vos choix. Jusqu’à ce que vous ayez fait une habitude de votre nouvelle zone de confort dans la quatrième et dans la cinquième dimension.

    Il s’ait d’un éveil graduel où vous devez vous pardonner chaque faux pas et continuer d’avancer dans la foi, l’espoir et la joie. Cherchez la joie de votre cœur, et tout le reste tombera en place en cours de route.

    Accueillez le ciel sur terre. Il est ici pour que chacun de vous le crée et le soutienne.

    Source: http://www.transition2017.com/html/ascension1.php

    1 coeur 1

  • LE LAPACHO

    Lapacho 1

    Noms communs : pau d'arco, lapacho (arbre sacré des incas), îpe roxo.
    Noms botaniques : Tabebuia avellanedae, T. impetiginosaHandroanthus impetiginosus, famille des bignoniacées.
    Nom anglais :lapacho, taheebo.

    Encore une plante à connaître pour aider notre organisme à passer l'hiver et son lot de petits désagréments :
    Traditionnellement utilisé en cas de gastro-entérites, d'infections des voies respiratoires, cutanées..., le lapacho est très réputé pour tout ce qui touche à notre immunité : il est ainsi utilisé comme antifongique, antibactériens, antiparasitaires...

    Dans le monde occidental Pau d'Arco est utilisé par les herboristes modernes pour soutenir un environnement interne normal pour les différents types d'organismes indésirables qui se trouvent dans le vagin. Pau d'Arco s'est avéré être l'un des meilleurs combattants de la nature contre les infections mycotiques. 
    Cette herbe polyvalente peut renforcer la tendance naturelle de l'organisme à se débarrasser de plaintes occasionnelles mineures telles que le pied d'athlète et les infections à levures. 
    Pau d'Arco contient trois composés anti-levure lapachol, lapachone beta-et-xyloïdine qui ont montré leurs efficacités contre le Candida albicans et autres mycoses. 
    Pau d’Arco ... est appelée « l’arbre divin ». Il est utile dans les problèmes de rhumatisme, d’inflammation arthritique, prostatites, cystites, et est également bénéfique pour l’élimination des champignons et la prolifération de levures dans le corps. 
    L'utilisation de ce complément alimentaire est une alimentation traditionnelle.

    Le lapacho contient (entre autres) du fer assimilable, des tanins, des flavonoïdes et des coumarines (accentuant la fluidité sanguine), des antiseptiques et des antibiotiques ainsi que des antiviraux, des oligo-éléments et des minéraux (magnésium, calcium, zinc, phosphore, chrome, manganèse, silice, cuivre, molybdène, sodium, potassium, argent, bore, strontium, or, baryum, nickel).
    Le lapacho est un très grand arbre, sacré pour les Incas. Il pousse naturellement entre le Mexique et l'Argentine.

    L'utilisation du bois interne est connu de longue date pour ses propriétés bénéfiques sur la santé : Les anciennes civilisation (du temps de l'invasion espagnole) s’en servaient surtout comme anti infectieux et comme antidote aux morsures de serpents ou d'insectes et contre les douleurs.

    Les Brésiliens en font toujours un important usage pour aider le corps à guérir et rester en pleine forme. L'utilisation très populaire est celle pour combattre diverses infections comme les gastro-entérites, les infections des voies respiratoires, cutanées, cystite et vaginite.

    Le lapacho est très réputé pour tout ce qui touche à notre immunité: il est ainsi utilisé comme antifongique, antibactériens, antiparasitaires.

    Le lapacho agit également très favorablement sur le sang en le régénérant et l'oxygénant. Il favorise aussi l'élimination des toxines de la lymphe.

    Enfin, la tradition l'utilise aussi pour diminuer les douleurs articulaires.

    * Actuellement des recherches sont menées sur les cancers.

    PROPRIETES ET INDICATIONS
    Élimination des toxines (radicaux libres)
    Affections causées par des parasites, champignons, etc. 
    Infections à levure 
    Stimulant du système immunitaire
    Antalgique (antidouleur)
    Anti-inflammatoire
    Traitement des cancers
    Antirhumatismal (arthrite)
    Soins de l'anémie (contient du fer et des minéraux) et d'autres maladies hématologiques (affection sanguine) telles que la leucémie ou la maladie de Hodgkin
    Soins de certaines maladies neurologiques (maladie de Parkinson)
    Traitement de la fibromyalgie
    Artériosclérose
    Troubles digestifs (inflammation de l'estomac et des intestins)
    Polype
    Leucorrhées
    Cystite
    Prostatite
    Dermatoses (maladies de la peau) : eczéma, psoriasis, lupus etc...
    Bronchite
    Diabète (la plante empêcherait le glucose de passer du système digestif au système sanguin)

    Ces informations ne remplacent pas l'avis d'un médecin. N'arrêtez jamais vos médicaments sans l'avis de votre médecin. La santé ne repose pas sur la prise d'un aliment "miracle" mais sur l'adoption d'une alimentation équilibrée et d'un mode de vie sain.

    *Le lapacho est contre-indiqué en cas d'hémophilie. En effet les individus présentant une coagulation perturbée à type d'hypocoagulabilité (sang trop fluide) ne doivent pas être traités avec cette plante. Les individus soignés par des anticoagulants (antivitamine K, aspirine, héparine etc...) également. Ceci est liée au fait que le lapacho contient des coumarines. La coumarine est une substance contenue dans la fève tonka, utilisée en pharmacie pour son pouvoir anticoagulant. C'est la raison pour laquelle le lapacho ne doit pas être prescrit sans un avis médical sérieux.

    Source: http://www.vulgaris-medical.com/phytotherapie/lapacho

  • ACIDOSE PAS SI BANAL

    Examinez les problèmes de santé causés par une acidose légère (mauvais équilibre du pH) :

    Gencives sensibles enflammées, caries
    Immunodéficience
    Sciatique, lumbago, torticolis
    Problèmes respiratoires, essoufflement, toux
    Prolifération de levure fongique
    Faible énergie et fatigue chronique
    Dommages cardiovasculaires, y compris constriction des vaisseaux sanguins et réduction de l’oxygène
    Problèmes cardiaques, arythmies, augmentation du rythme cardiaque
    Gain de poids, obésité et diabète
    Infection de la vessie et des reins
    Dommages accélérés par les radicaux libres
    Vieillissement prématuré
    Nausées, vomissements, diarrhée
    Ostéoporose, os faibles et fragiles, fractures de la hanche, épines osseuses
    Maux de tête, confusion, somnolence
    Douleurs articulaires, douleurs musculaires et accumulation d’acide lactique
    Allergies, acné

    17 signes que votre corps est trop acide et 9 façons de l’alcaliniser rapidement

    1 acidose 1

    Le corps n’ajuste-t-il pas son pH de lui-même ?

    Oui, il le peut, mais il le fait avec un coût. Le pH normal de tous les tissus et les fluides dans le corps, à l’exception de l’estomac, est alcalin. A l’exception du sang, tous les systèmes de l’organisme ont une large gamme de pH, en partie afin qu’ils puissent se modifier et s’adapter pour maintenir le pH du sang qui, lui doit impérativement se maintenir dans une marge très étroite de 7,35 à 7,45.
    Par exemple, si le système devient trop acide, le sang prendra des éléments alcalinisants à partir des enzymes digestives de l’intestin grêle. Cela crée alors un environnement peu adéquat pour une digestion correcte. Ainsi, alors que le corps peut ajuster son pH de lui-même, il le fait au prix d’autres systèmes dans le corps, ce qui peut conduire à des problèmes de santé supplémentaires.
    On ne peut pas savoir si un aliment est acidifiant ou alcalinisant seulement au goût
    Par exemple, beaucoup de gens pensent que le citron est acidifiant, alors qu’il est classé comme un fruit acide, c’est en fait un aliment alcalinisant. Au cours du processus de la digestion, les acides sont oxydés en dioxyde de carbone et en eau, par conséquent ils ne créent pas un état acide dans le système.
    Le calcium, le fer, le magnésium, le potassium et le sodium sont les principaux minéraux alcalinisants. Les aliments qui ont une teneur élevée en ces minéraux sont considérés comme alcalinisants. La plupart des aliments ont des minéraux qui sont à la fois acidifiants et alcalinisants. Si les minéraux acidifiants sont en plus grande concentration, alors cet aliment est considéré comme acidifiant et vice-versa.

    Le corps a des limites
    Le corps a des limites en ce qui concerne ses capacités à compenser les déséquilibres acides. Par conséquent, l’apport alimentaire joue un rôle crucial dans son rôle de maintenir l’équilibre acido-basique. Beaucoup de maladies et le malaise général sont le résultat de la tentative de l’organisme pour rétablir l’équilibre du milieu interne.
    D’une manière générale, si le régime comprend trop d’aliments acidifiants, tels que de grandes quantités de viandes, céréales, produits laitiers, sucres, le corps devient plus acide. Si vous mangez trop d’aliments alcalinisants tels que les légumes à feuilles vertes, les fruits, les algues, le corps peut devenir trop alcalin. L’équilibre est la clé.

    Répartition des aliments alcalinisants et acidifiants

    1 tableau acido base 1

    Consultez la liste complète des aliments alcalinisants et acidifiants ici:
    http://www.sante-nutrition.org/quels-sont-les-aliments-les-plus-alcalinisants/

    Comment améliorer votre alcalinité

    Buvez beaucoup d’eau  ionisé si possible 
    Retirez ou diminuez fortement les aliments acidifiants
    Remplacez un déjeuner traditionnel par une copieuse salade verte
    Utilisez des feuilles de salade et de chou pour vos sandwichs au lieu du pain
    Essayez de ne pas consommer d’aliments transformés
    Eliminez les boissons gazeuses, les sucres et réduisez le café. Remplacez-les par des infusions, des décoctions, des boissons vertes
    Remplacez le lait et les produits laitiers par le lait de coco ou le lait d’amande
    Ajoutez des jus ou des smoothies verts à votre alimentation qui vous donneront une profusion de minéraux alcalinisants
    Réduisez le stress dans votre vie


    Ce que vous mangez fait la différence

    L’amélioration des niveaux de pH peut exiger un peu plus de réflexion, mais vous apprécierez les fruits de vos efforts au fur et à mesure que vous commencerez à vous sentir plus énergique et plein de vie et que votre santé globale s’améliorera.
    C’est indiscutable, ce que vous mangez a un impact direct sur votre état de santé général. Ann Wigmore, fondatrice du célèbre Institut de santé Hippocrate a dit, « La nourriture que vous mangez peut être soit la forme de médecine la plus sûre et la plus puissante, ou la forme de poison la plus lente ».
    Sources: theheartysoul.com,  www.nlm.nih.gov,  www.ncbi.nlm.nih.gov, orthomolecular.org

    Désintoxiquez vous en vous reminéralisant grâce
    au Pack Vitalité 

    http://www.le-comptoir-malin.com/blog/alicaments/pack-vitalite.html​

    ou 
    au Pack Angel 
    www.rayonnertavie.com

  • 19 sources de douleur

    19 sources de douleur qui sont liées à des états émotionnels spécifiques

    Douleur emotion 1

    La douleur musculaire peut être liée à des problèmes de mobilité dans votre vie.

    Êtes-vous flexible en ce qui concerne vos expériences professionnelles, familiales et personnelles ?

    Voici les 19 sources de douleur:

    1. Les maux de tête limitent la prise de décision.
    2. La douleur au cou est le signe que vous pouvez avoir des difficultés à pardonner aux autres, ou à vous-même.
    3. La douleur des gencives est liée aux décisions que vous ne prenez pas ou ne pouvez pas supporter.
    4. La douleur à l’épaule peut indiquer que vous êtes porteur d’une grande charge émotionnelle.
    5. Les douleurs à l’estomac peuvent se produire lorsque vous n’arrivez pas à digérer quelque chose, au sens figuré, surtout lorsque c’est quelque chose de négatif.
    6. La douleur au niveau du haut du dos peut indiquer que vous manquez de soutien émotionnel, ou que vous vous sentez mal aimé.
    7. La lombalgie pourrait signifier que vous vous inquiétez trop à propos de l’argent ou que vous manquez de soutien émotionnel.
    8. La douleur dans le sacrum et le coccyx pourrait signifier que vous stagnez sur une question qui doit être résolue.
    9. Les douleurs du coude sont directement liées à votre résistance au changement dans votre vie. Si vos bras sont raides, cela peut signifier que vous êtes trop rigide dans votre vie.
    10. La douleur dans les bras signifie que vous portez quelqu’un ou quelque chose comme un fardeau émotionnel.
    11. La douleur dans les mains signifie que vous tendez vos mains trop souvent aux autres.
    12. La douleur dans les hanches se manifeste lorsque nous avons peur de bouger. Les hanches endoloris pourraient indiquer une résistance au changement.
    13. Les douleurs dans les articulations indiquent une incapacité à faire preuve de souplesse.
    14. La douleur au genou indique une difficulté à accepter les choses comme elles sont. La douleur à l’intérieur du genou est liée à la communauté, le travail, les amis; et l’extérieur du genou est lié à des problèmes personnels.
    15. Les maux de dents signifient que vous n’êtes pas satisfait de la situation dans laquelle vous êtes, et cela affecte vos émotions dans la vie quotidienne.
    16. La douleur dans les chevilles signifie que vous ne vous autorisez pas à être heureux.
    17. La douleur qui vous fatigue est causée par l’ennui, la résistance, et le fait de nier ce qu’il faut faire pour aller de l’avant.
    18. La douleur au pied peut être causée par la dépression.
    19. Les douleurs inexpliquées dans diverses parties du corps : La structure cellulaire du corps est constamment renouvelée et pendant ce processus, elle est purgée des énergies négatives. Ce processus affaiblit le système immunitaire et tous les systèmes dans le corps. De ce fait, si le corps peut sembler malade, il est cependant dans un état de compensation – un état qui va bientôt passer.

    Sources: naturalhealingmagazine.com

    Vous pouvez obtenir des changements dans votre vie en vous changeant vous même. Voici quelques clés pour vous aider

    1- Spagyrie: les élixirs spagyriques sont d'une grande aide car ils agissent tant sur le physique, que l'émotionnel, le mental et les plans plus subtils. En tant que thérapeute énergéticienne, je peux vous trouver votre élixir de votre instant présent
    Ma sélection: http://www.elixalp.com/

    2- LIVRE "7 jours pour changer de vie"

    7 jours pour changer de vie 1

    Êtes-vous pleinement satisfait de votre vie ? De votre situation ? Vivez vous selon vous le meilleur ? Pensez-vous que vous pouvez obtenir une vie encore plus agréable ? Encore plus merveilleuse ? Encore plus extra-ordinaire ?

    Ce nouveau livre d’Hervé M vous donne toutes les clefs pour passer votre vie globale (santé, vitalité, relationnel, finances, etc) au niveau supérieur. Vous allez véritablement comprendre comment obtenir une excellente santé, un maximum de vitalité et de bien-être global. Vous le savez, si vous avez des rêves et des envies, vous avez besoin d’aller bien, d’avoir toute l’énergie nécessaire pour aller décrocher vos rêves. Rien n’est plus frustrant que d’avoir des rêves et des envies et un corps fatigué, mal en point qui ne permet pas de les vivre. Quand votre corps va bien, alors votre esprit va bien également, tout comme vos émotions. Comment être serein, heureux, joyeux si on est constamment fatigué, que l’on a mal partout ?

    Vous allez enfin devenir autonome grâce à la connaissance que vous allez obtenir. A vous ensuite de passer à l’action pour obtenir les résultats souhaités. Votre esprit est votre meilleur ami, mais mal utilisé, il peut devenir votre plus grand ennemi. Ni nos parents, ni l’école ne nous expliquent comment utiliser au mieux le pouvoir que nous avons en nous…résultat nous nous blessons, nous échouons, nous vivons dans la frustration de ne pas vivre à la hauteur de nos espérances. Vous allez maintenant pouvoir prendre le contrôle de votre puissance intérieure pour l’utiliser à votre avantage et au bénéfice de nous tous. En effet, votre véritable succès ne peut venir de l’échec des autres, votre joie ne peut venir du malheur des autres. Il est temps que votre grandeur puisse rayonner et profiter à tous, car après tout, s’il profite à tous, il vous reviendra démultiplié.

    Vous allez également découvrir comment les dernières connaissances Quantiques peuvent vous aider dans ce processus de transformation. Vous allez également découvrir un plan complet, un véritable programme journalier qui va vous permettre de rehausser votre taux vibratoire et ainsi vous permettre d’attirer à vous le meilleur de la vie. Plus vous irez bien et plus vous obtiendrez le meilleur de la vie. Changez d’abord et la vie répondra à vos attente avec une facilité qui va vous surprendre. Prenez votre vie en main et profitez des bénéfices de cette action positive et enthousiasmante. Go !
    www.rayonnertavie.com